Chère ancienne amie.
Bonjour, toi que je disais être ma meilleure amie, à moins que c'est toi qui disais que je l'étais?
Bonjour, toi à qui je ne parle plus depuis un mois, peut être deux.
Je veux te dire que je vais bien.
Que j'ignore si toi oui, mais que j'espère que tu vas aussi bien que moi après t'avoir enlevée de ma vie.
J'ai trouvé cela dur de t'enlever de ma vie, mon convaincant que tu ne me ferais jamais aucun mal, mais j'ai finalement parvenu à la conclusion que tu me faisais plus de tord qu'autre chose. Que je ne pouvais éternellement vivre de mensonges et d'hypocrisie tout le temps. J'ai réalisé que, des "amies" qui pense que je mens, je ne peux que les supprimer de mon existence. Jamais je n'ai été aussi heureuse et épanouie de dire ce que je pense. Certes, étant dans la même ville que toi, je m'ennuie de lorsque tu étais gentille - mais penser que cela était faux me convaincs que mes deux meilleurs amis font amplement la job et pas la tienne.
Je t'ai supprimé de partout, enlevé ton numéro. Je me sens plus jugée, plus légère. Moins de mauvaises fréquentations font de meilleures façon de penser.
La grosse BS, la grosse torche, l'épaisse, celle qui fake toute, j'le sais que ces choses-là tu les penses. Et tu sais, moi aussi je les pense de toi - maintenant, on s'cache pu pour dire de quoi.
Tu me disais que t'avais pas d'amis, facile de comprendre pourquoi - un jour tu vas comprendre.
Un jour, tu vas comprendre que l'homme que tu baises est le même que tu devrais montrer aux gens - qu'on est pas obligée de rester s'il ne suffit pas d'aimer.
Tu vas voir que malgré les chirurgies que tu veux, tu ne sembleras pas plus belle - car ton intérieur ne l'est pas malgré les centaines de dollars en produits.
On a eu du fun, j'espère que t'en as à te faire tripoter le cul et toucher les seins.
Bonjour, toi à qui je ne parle plus depuis un mois, peut être deux.
Je veux te dire que je vais bien.
Que j'ignore si toi oui, mais que j'espère que tu vas aussi bien que moi après t'avoir enlevée de ma vie.
J'ai trouvé cela dur de t'enlever de ma vie, mon convaincant que tu ne me ferais jamais aucun mal, mais j'ai finalement parvenu à la conclusion que tu me faisais plus de tord qu'autre chose. Que je ne pouvais éternellement vivre de mensonges et d'hypocrisie tout le temps. J'ai réalisé que, des "amies" qui pense que je mens, je ne peux que les supprimer de mon existence. Jamais je n'ai été aussi heureuse et épanouie de dire ce que je pense. Certes, étant dans la même ville que toi, je m'ennuie de lorsque tu étais gentille - mais penser que cela était faux me convaincs que mes deux meilleurs amis font amplement la job et pas la tienne.
Je t'ai supprimé de partout, enlevé ton numéro. Je me sens plus jugée, plus légère. Moins de mauvaises fréquentations font de meilleures façon de penser.
La grosse BS, la grosse torche, l'épaisse, celle qui fake toute, j'le sais que ces choses-là tu les penses. Et tu sais, moi aussi je les pense de toi - maintenant, on s'cache pu pour dire de quoi.
Tu me disais que t'avais pas d'amis, facile de comprendre pourquoi - un jour tu vas comprendre.
Un jour, tu vas comprendre que l'homme que tu baises est le même que tu devrais montrer aux gens - qu'on est pas obligée de rester s'il ne suffit pas d'aimer.
Tu vas voir que malgré les chirurgies que tu veux, tu ne sembleras pas plus belle - car ton intérieur ne l'est pas malgré les centaines de dollars en produits.
On a eu du fun, j'espère que t'en as à te faire tripoter le cul et toucher les seins.
