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Affichage des articles du octobre, 2020

idfka

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 J'ai énormément de peine. Depuis le début, j'essaie d'être positive, mais aujourd'hui, je craque un peu. La maison qu'on m'avait apparemment gardée (réservée) est vendue. J'ai dû remettre mes vacances que j'attendais depuis déjà un an à plus tard et, si la tendance se maintient, je vais encore les remettre.    On me dit de pas pleurer et rester forte, mais c'est de plus en plus difficile.    Je suis contente qu'il m'appelle mais j'aimerais qu'il soit près de moi.    Ils ont dit que c'est 28 jours de confinement mais j'ai pas espoir rendu là, j'ai peur que ça continue pour autant de mois que les huit derniers.   Je sais pu quoi faire, quoi dire, comment agir. J'ai l'impression que tous mes efforts sont pour rien.   J'voulais montrer à mon homme la maison que je voulais et que j'économisais pour, maintenant j'ai un compte épargne qui sert à rien, un char de marde dans mon appart miteux bordélique, pis j&

f r e e \

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 J’feel pas pentoute. J’t’en totale dissociation, y a rien qui semble réel pis la radio et les collègues ‘jouent’ en background. J’ai envie de crier, pleurer, m’en aller. La pression et le stress que je ressens sont trop forts pour que je sois ici. Chaque geste me fait sursauter, j’ai le goût de m’éteindre du monde mais la solitude que ça provoque c’est trop pour mon p’tit être tout faible, s’pas l’envie d’aller écouter d’la musique fucking forte en char en criant et pleurant toutes les larmes de mon corps. Mais non, criss. J’ai l’obligation et l’devoir d’être ici malgré les ‘démons’ intérieurs qui font l’party pis qui me donnent envie de disparaître. C’est eux que je veux tuer, pas moi. Le stress et l’anxiété c’est la pire des plaies, pis vu qui sont pas venus m’porter mes médoc, m’a devoir les entendre en supplémentaire. J’arrive pas à trouver où est-ce que j’ai fuck up pour me rendre-là. J’voudrais juste que toute ce chaos dans mon corps cesse de m’habiter, j’voudrais me sentir sere

être assez

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 Aujourd'hui, j'ai de la peine. Je suis fâchée, je suis stressée, je me sens désemparée. Je vais déjà pas bien, pis tu ajoutes ta personnalité toxique au lot. Tu me fais sentir mal de me sentir triste, tu me blâmes de me sentir comment je me sens. Tu serais sensé être la personne qui comprend le plus ma situation, mais, au contraire, t'es la personne qui s'en sert le plus pour me faire chier. J'ai pu envie de te parler. J'ai pu envie de toi, et de la manipulation juste pour que j'me ramasse dans ton lit. J'tannée d'ta game du 'nice guy' hypocrite, j't'année. J'veux pu te parler. Ça va sûrement pas durer vu les circonstances, mais, aujourd'hui, maintenant, j'veux pas t'avoir dans ma vue, ni dans mes inbox. J'ai pas envie qu'tu fasses des tâches que j't'ai jamais demandées pour me faire sentir mal et agir en victime. J't'ai donné d'la crème hier pour tes problèmes de peau, t'as à peine dit

poison

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 Encore une journée de congée les yeux inondés. Encore une jour que jaurais aimé être à job juste pour me distraire le mental de tout ce qu'il me stresse et me rend triste. J'aimerais ça parler à celle qui était ma meilleure amie pis pas devoir prendre le temps d'une intervenante qui a sûrement des patients moins dramaqueen . J'ai l'impression d'abreuver du poison des autres juste pour être sûre de pas mourir de soif, l'impression que de l'attention négative c'est mieux que pas d'attention du tout. C'est dur d'expliquer la solitude à des gens qui, eux, l'apprécient ou n'arrivent pas à la comprendre.  On me dit de me reposer et prendre du temps pour moi, mais entre mes quatre murs ou entre ceux de ma voiture que je ne peux conduire, le temps seul avec ma tête me semble plus toxique que d'autre chose. Sinon on m'dit d'agir 'normal', 'comme tout le monde' pis je sais pas vraiment c'est quoi ça non plus