mon état d'âme le 9 décembre 2017

(écrit le 9/12/17) C'est comme si, à cet instant précis-là, quelque chose de profond s'est brisé en dedans de moi. La p'tite Mélissa de 13 ans qui voulait juste être aimée et acceptée vient de manger tout qu'un coup d'poignard. Y a une amertume, un dégoût de ma personne qui s'est installé à l'intérieur de moi. C'est du déjà vu, du déjà-trop-vu même. J'ai le coeur en million de miettes même si, au plus profond de mon être, j'le savais. La bulle était si grande et rose que son éclosion résonne en dedans de moi comme la musique triste que crache mes écouteurs. Me sens vulnérable, coupable, usée peut-être même, et sale. Comme si, peu importe s'que j'faisais, j'méritais pas tout d'suite mon happy ending pis qu'pour une grosse lâche malade su'l bs, ça allait toujours être trop beau pour être vrai. J'me sens tellement moins qu'intelligente et beaucoup plus que stupide. Mon coeur brûle, pis j'doute que l'incendie d'émotions s'éteigne de sitôt. Je t'aime, je t'aime tellement pis plus que le temps avance, j'ai l'impression que j'devrais pas. Chu quoi moi, pour toi? Parce que pour moi, t'es tellement important. Tu combles aucun vide ou manque d'attention; t'es là, dans ma vie, parce que j'en ai crissement envie. J'ai l'impression que dans ma vie, j'serai jamais plus qu'une futile et simple maîtresse, que d'être la princesse du prince n'arrivera tout simplement pas. C'est pas l'horloge biologique, les pulsions sexuelles ou la sollitude qui parle, c'est moi. La moi complètement brisée sur laquelle on ne cesse de lancer de nouvelles briques. J'suis remplie d'ecchymoses, j't'ais vraiment convaincue qu't'était la version humaine du renouveau, d'la paix intérieure dont j'avais tant besoin. Pis tsé, j'pas mieux, pourquoi après une telle annonce j'pas partie en courrant, j'tellement toujours la deuxième option qu'juste y penser m'anéanti... alors pourquoi suis-je restée? Pourquoi est-ce que je te trouve beau et gentil quand même? Dans l'fond, j'aurais tu eu moins mal si t'aurais réellement été un catfish pis qu'l'aventure aurait fini là? J'ai besoin du pourquoi du pourquoi malgré que je sais qu'beaucoup des informations qui piquent ma curiosité sont inconnues dans ton être également. Pourquoi suis-je toujours joueur 2 dans chacune des games que la vie m'propose? ''Pourquoi?'', plein d'affaires qui m'trottent dans tête et qui font que j'me sens comme une moins de rien. Comme si aucun câlin ou aucune musique allait être une colle assez suffisante pour rapailler les morceaux... après tout, on ne peut pas réparer un vase cassé avec quelques pansements. Mes yeux brûlent autant qu'la boule qui m'étouffe et envahi ma cage thoracique. Pis quand le monde voudront des nouvelles, je dis quoi? Je mens en disant que tout va bien dans mon monde de princesse en rose et mauve ou j'leur dit que je suis juste un vulgaire pneu de rechange, un spare toujours un peu moins bon, beau et efficace qu'le peu de base... elle. Ah pis ça, s't'une autre affaire... pis elle, là dedans. C,est clair qu'une partie de moi a envie d'y parler et d'me vider l'coeur malgré qu'je l'sache très bien que s'pas la meilleure chose à faire. J'ai l'goût d'y dire j'm'excuse d'exister fille, depuis hier j'ai juste envie d'm'sauver ou d'm'étendre sur une track de chemin d'fer pis attendre qu'le train passe. J'veux en aucun cas t'faire d'la peine, pis gâcher ton illusion de couple parfait, fille, est-ce que ma culpabilité suffit comme monnaie d'échange contre mes excuses? J'écoute catfish que j't'encore en train d'me demander si j'aurais pas préféré qu'ce soit ça, la tournure des évènements, j'sais pu quoi penser, j'me sens tellement de trop, c'est dans des moments d'même que j'aurais voulu pas être venue au monde. J'ai faim, mais j'parviens à rien avaler, chu amorphe pis neutre tellement que je me sens démolie. Comment tu veux pas t'arracher toutes les parcelles de peau d'savoir qui faut cacher ta présence comme si t'étais de trop pis qu'on avait honte de toi, quasiment. Calice que j'voudrais disparaître, depuis hier j'pense juste à s'que j'pourrais ingurgiter pour empoisonner l'mal, j'prendrais la plus aiguisée des lames pis j'ferais les plus grandes et creuses des entaillures. J'ai juste envie d'me fesser, d'tout démolir sur mon passage. J'me hais, c alice que j'me déteste, j'pas capable d'lâcher ma calice de peau, le choc a été tellement fort qu'il résonne encore à travers mes veines, sacrament d'ostie de vie de chienne du calice, j,aurias pas pu juste crever comme s't'ais prévu l'deux-trois juillet d'cette année.... calice que ça m'aurait évité ben des affaires, s'comme si on venait d'me slamshut mon conte de fées en pleine face, j'm'endure pas, j'aurais juste envie d'sauter d'la plus haute des falaises pis entendre mon crâne craquer tel un oeuf au bord d'la poêle. Mon coeur et mon âme saignent, j'voudrais juste que demain on soit l'premier juillet pis qu'tu fasses ton choix; moi, la sollitude ou elle. J'me sens trahie, of course, mais en même temps, j'peux tu vraiment t'en vouloir d'avoir osé être honnête avec moi. Pis si t'aurais pas consommé, t'aurais attendu combien d'temps avant d'me le dire? Pis tsé, y a tu des infos qu'tu caches vis-à-vis votre relation. Tu m'aimes tu moi, ou elle, les deux ou aucune? Ton attirance envers moi est-elle réelle, et y en a-t-il une envers elle? Chu quoi moi pour toi, en fait? Parce que toi, pour moi, t'es quasiment mon copain, c'est non officiel certain mais sans cette histoire, j'aurais personnellement eu aucune gêne à crier sur tous les toits qu'j'voudrais l'plus beau et l'plus fin des garçons jamais rencontrés. J't'écorchée sacrament, j'sais pas quoi dire, quoi faire et quoi penser excepté qu'chu crissement conne de m'avoir mis moi-même la tête dans l'sable parce que dans l'fond, j'm'en doutais bien qu'vous étiez ben plus que des coloc... quand tu m'as dit qu't'as jeté la carte, j'me suis sentie comme is la carte en question avait été émiettée. Maintenant que j'sais tout ça, it all makes sense, mais j'ai quand même envie m'déchirer l'torse comme si Hulk venait à violemment enlever sa chemise en la déchirant. Mon coeur bat tout croche, calice que j'me hais d'être autant intense et emotive, desfois j'comprends juste pas l'but de continuer cette vie d'marde là, me semble que mes lèvres sur la pointe d'un gun pis mes doigts sa gachette ça serait pas pire. Ça brûle en dedans, c'est incroyable esti, j,aurais juste envie d'boire n'importe quoi pour filtrer l'ostie d'peine qui me hante. Oui, hante... j'pense qu'c'est exactement l'état dans lequel j'me sens. J'aurais beau remplir toutes les lignes de s'te cahier, m'a quand même finir en braillant à Shawi en m'demandant pourquoi j't'en train d'crever, d'mourir à petit feux, mais que j'pas morte encore... calice. J'aurais envie d'puncher dans l'mur, d'crier toute la rage qu'j'ai en d'dans d'moi. Pourquoi ais-je été si naive, si conne et innocente face à la situation? J'pas conne de même criss d'habitude? J'ai l'impression d'avoir été méfiante mais crissement pas sur le (ou les!) bon(s) aspect(s)... j'm'hais plus moi-même, plus que n'importe quel sentiment négatif que j'pourrais ressentir envers toi. Rationnellement, j'apprécie ton honnêteté malgré le délais qu'elle a pris avant d'arriver. Irationnellement, j'en reviens pas qu'on m'aille niaiser de même, j'me trouve conne de m'être attachée à toi pis même que des fois, j'aurais pas du accepter la demande d'ami de n'importe qui. Malgré ça, je t'aime plus que tout au monde, pouvoir j'serais en couple avec toi depuis une couple de mois, c'est sûr qu'à l'intérieur de moi j'espère juste que tu m'aimes comme moi je t'aime, but only time will tell pis j'trouve ça quasiment impossible malgré les faux espoirs qu'ma tête crée. S'que j'vis en s'moment, c'est crissement d'la mauvaise nostalgie... s'que j'vis, c'est Joey qui a honte et qui veut pas qu'notre couple soit vu au grand jour, c'est Félix qui m'annonce qu'il veut me laisser, c'est Alex qui m'aime juste en amie et Steven qui m'ditch pour m'annoncer une semaine plus tard qu'il est en couple. C'est Mélissa qui, à 14 ans, passait ses journées avec le même gars en tête qui me faisait remplir des tonnes de cahiers spirale de mots d'amour mais aussi de tous mes chagrins et peines. C'est Mélissa qui, à quatorze, quinze et seize ans, se taisait pour ne pas d;éplaire et dont le corps a enclenché une maladie grave afin de me faire passer le message que, ce que je fais et ce que je vis, c'est trop et que ma tête est tellement remplie que mon corps est rendu empoisonné, lui aussi. J'voulais pas t'aimer parce que du mal de même, j'osais espérer que j'en revive pu pis même si j'suis consciente que souffrir fait partie d'la vie, j'ai juste l'impression d'avoir aucun répis malgré qu'j'pensais - à tord, peut-être - que t'étais un genre d'ange descendu du ciel en mission pour redownloader la paix émotionnelle qu'j'avais perdu. T'es chanceux en criss de dormir parce qu'i fucking wish que mon calice de cerveau cave pourrait s'éteindre, ne serais-ce que quelques instants. J'crisserais tout en feu, j'pitcherais mon calice de téléphone cave que j'ai acheté pour t'parler au bout d'mes bras sacrament s'tu la maison hantée pis l'vortez qui m'ont ornée d'un mauvais sort de même ou c'est l'fait que, lentement mais sûrement, le karma me rattrappe peu a peu? J'veux juste toute casser, avoir mal ailleurs que dans mon coeur pis ma criss de tête. /// Me sens encore comme d'la criss de marde, ça pas de bon sens. Comme si, à l'isntant présent, j'étais la pire des personnes pouvant exister sur cette terre. Je ne la connais pas, pourtant j'ai l'horrible sentiment de la trahir et de lui faire d'la peine. Écoute fille, j'm'excuse, j'le savais pas pis maintenant qu'j'le sais, j'm'en veux tellement d'te faire ça, surtout si tu l'aimes autant qu'moi j'peux l'aimer. J'me sens mal, comme si j't'enlevais le peu d'bonheur qui t'restait dans ta vie. Pis sacrament, j'te ferais jamais ça, avoir su. Parce que c'est ça, hein. Personne sait rien. Tout l'monde est pogné entre des calices de secrets à marde, dans l'fond y est doomed, quasi pris entre l'attirance et habitude - on semble être attirés par la nocivité, pourtant on dit vouloir chercher le dit bonheur . J'ai mal, ben mal. Des crampes de culpabilité dans l'coeur pis au niveau de l'abdomen. Est-ce que chu conne, naïve ou même salope si j'déciderais d'attendre? Pis si j'finissais par gaspiller tout mon énergie et, à fin, de perdre quand même? C'est sûr qu'pour toi ça serait ben plus facile de me garder comme backup sur Facebook pendant qu'a travaille pis d'reprendre encore et encore un bail qui t'engage à même osti de routine plate que t'aimes pas pis qui change pas. J'ai juste envie de crier pis frapper n'importe quoi, calice que j'me sens stupide, pourquoi j'peux pas juste m'en calicer pis profiter du temps que j'ai à passer avec lui? Calice, K, SORS DE MA TABARNACK DE TÊTE. J'm'hais, calice que j'm'hais, j'pas capable d'enlever ce feeling de marde là qu'j'ai en d'dans d'moi. /// Sacrament. Parce que j'essaye de pas penser à ça pis l'esquiver de ma tête, fallu j'pense toute la nuit à rêvé de s't'osti de scénario de vie de marde là. Dans le rêve, tu t'affirmais tellement à 100% pis t'avais aucune criss de honte à affirmer qu'c'est moi qu't'aimais pis qu's'était avec moi tu voulais habiter/ vivre. Tsé, tu penses j'me sens comment de partager l'homme que j'aime le plus au monde avec une fille qui, obviously, a crissement plus d'importante et d'impact sur ta vie. J'sais même pas pourquoi j'me suis pas enfuie en courant encore, pourquoi mon cerveau cave pis mon coeur imbécile sont-ils têtus au point de vouloir rester dans l'espoir qu'c'est moi qu'tu veules. Y a l'pack de smokes pis l'lighter en avant d'moi pis la seule chose à laquelle j'pense, s't'au fait que si j'me brûlais un peu pis qu'j'en fumais une couple, le mal changerait peut-être de place. J'aime ben mieux les poumons qui demandent de l'air que mon coeur qui me demande du monde clairement inaccessible. J'ai l'impression que j'sais comment ça va finir mais, qu'encore une fois, ma tête conne se fout elle-même dans l'sable en espérant qu'un jour tu m'aimes. Facile d'me dire d'pas brailler pour ça, mais j'peux pas m'empêcher d'me sentir trahie, honteuse, conne, pas importante et, à limite, bouche trou. Y est 11h11 pis j'souhaiterais juste qu'à fin juin t'ailles la paire de couilles qui faut pour décalicer. j'pense que s'pas juste le fait que j'pas aussi importante que j'pensais l'problème, mais aussi le fait qu'tu gardes toute s'te marde-là en dedans d'toi pis qu'personne - not even you -  sait s'qui s'passe réellement. /// J'te regarde sommeneler pis, sais-tu quoi? T'es beau. C'est la seule chose à laquelle j'pense pis une des seules qu'j'ai envie d'te dire, même si j'ai l'air gossante ak ça. J'me demande si elle aussi, a profite des p'tits instants pour se rappeler la chance - parce que oui, s't'une chance - qu'elle a de t'avoir dans sa vie, est-ce qu'elle trouve ton visage époustouflant, se perd-t-elle dans tes beaux yeux bleus clairs? J'etaime, j'essaye de pas avoir ça dans tête mais c'est juste crissement impossible, la grosse crisse de claque dans face de savoir qu't'es pas prano et méfiant, non non tu fais juste me cacher, de honte pis de culpabilité sûrement... du moins, c'est ce que j'imagine. Calice que ça m'démolis encore à l'intérieur, tabarnack que chu pu capable pis m'endure pas. J'te blâmerai jamais d'avoir été honnête, ça c'est sûr, j'aurais juste souhaité qu'ce soit vraiment juste ta coloc, rien d'autre. J'savais qu'j'avais raison d'être jalouse pis qu'j'aurais du m'méfier. T'es un genre de poison que j'peux pas m'empêcher d'ingurgiter malgré les effets nocifts qu'ça la sur mon être en entier. /// Je t'aime. Je t'aiem, pis j'ai réellement hâte que tout s'te chaos là soit terminé. Encore cette nuit, j'ai rêvé à toi qui me disait d'aller voir ailleurs. Non seulement mon stupid ass brain reste accroché à toi, j'en suis tout simplement incapable. Une partie de moi veut attendre pis espérer qu'après toute s'te marde là, tu m'aimes pis tu me choisisses moi. C'est égoiste, j'le sais. J'suis pas plus facile à vivre qu'elle pis j't'envoie souvent chier, moi aussi. Par contre, la seule chose j'aurais voulu c'est de donner un break à ton p'tit coeur, pas de l'or'crisser à l'envers. J'veux tellement de bien pour toi que j'me noie pis, éventuellement, j'en viens à m'oublier moi-même. Dans l'fond, j'me demande, c'est elle qui vit l'aspect malsain de la relation ou moi? C'est moi qui souffre, ou elle? Pas mal de différentes perspectives. Parce que dans l'fond, arracher le chum d'une fille tel un toutou qu'on enlèverait à un enfant, c'est pas ça mon but. J'peux pas faire autrement que de ressentir d'la culpabilité et d'la honte d'avoir le rôle de celle qui va peut-être, éventuellement, faire fucker l'chien. J'ai l'impression que, pour être heureuse moi-même, j'ya rrache une partie de son bonheur à elle. Pis pour ça, j'ai mal, pis j'me sens mal. J'm'excuse d'exister, fille. J'voulais pas te'l voler, ton amoureux. J'voulais vraiment pas. Tsé j'me sens coupable qui veule coucher avec moi psi pas ak toi, t'es la méchante dans s't'hisotire là, au contraire c'est moi la sorcière. Toi, tu faisais jsute l'aimer, pis moi j'suis venue casser l'ambiance, that's it that's all. Je me demande jusqu'à où la culpabilité va-t-elle me ronger, pis jusqu'à où que j'serai pu capable de m'endurer. J'arrête pas d'me demander kessé tu veux j'fasse? mais c'est crissement évident que, la chose à faire, c'estr d'laisser à Katherine s'qui lui appartient, d'me sauver pis d'renoncer au fait qu'j'avias l'impression d'avoir trouvé la personne parfaite pour moi. Partir pis accepter l'fait qu'j'mérite juste d'être tu'seule ou bien d'essayer d'me contenter d'quelqu'un d'autre qui aura jamais les mêmes caractéristiques. a veut j'l'appelle, a l'appelle, le téléphone sonne pis avant d'répondre, you make sure que j'dis chut. Certes, c'est juste ta mère mais j'ai quand même le coeur qui m'sert un peu d'savoir faut j'me la ferme. L'entendre dire je t'aime tho, même à sa mère, c'est surprenant mais cute, quasiment hâte qu'ce soit mon tour. Bref, j'ai juste hâte de sortir de l'ombre... si ça arrive. J'm'excuse. De t'aimer, de trop t'aimer même. D'te coller, t'adorer, d'vouloir être dans tes bras & dans ton lit en permanence. J't'aime tellement, genre que j'ai jamais aimé quelqu'un d'même. J'm'excuse d'vouloir du sexe, qu'tu la laisses pis des minouches. J'm'excuse d'avoir besoin qu'tu justifies et m'expliques tout, m'excuse d'être difficile et, souvent même, capricieuse. T'es tellement précieux pour moi, chaque faux-pas oumauvaise parole j'ai peur d'te perdre encore un p'tit peu plus. J'ai un craving malsain de ta personne qui ne cesse de s'amplifier chaque seconde que je passe en ta présence. J'm'en veux d't'aimer pis chaque bisou et baise, j'ai l'impression d'te forcer à faire des choses qu'tu veux pas faire malgré mon propre gré à moi, tabarnack que je t'aime tho. Pouvoir me contrôler j'ceserrais d'vouloir coucher avec toi, m'excuse choune d'vouloir conitnuellement sentir ta peau contre la mienne, d'vouloir qu'tu m'dises s'que j'veux entendre pis d'te regarder un peu trop longtemps. Quand j'te colle ou j'pleure, s'pas dans l'but de t'énerver au contraire, j'ai juste de l'énorme difficulté à réussir à contenir toute l'amour que j'ai pour ta fantastique et magnifique personne. Encore une fois, la p'tite Mélissa d'quatorze ans qui souffre un p'tit peu en d'dans.

(18/12/18) Pis tabarnack, un an plus tard j'ai encore la gorge noué sur s't'esti de sujet-là. Parce que s'que j'ai écrit, s't'ais TELLEMENT heartfelt, sérieusement, TELLEMENT. J'viens d'voir une de nos chicanes en texto pis j'comprends même pas pourquoi tu m'parles encore, petite l'étincelle que j'ai qui part pas encore.