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PS: Si je parle de vous c'est ben dommage, souvent c'est l'émotion qui m'inspire à écrire, pas le reste.



Ce sentiment de délivrance.

Que ce dur travail acharné sur moi-même, il en valait la peine.

Que tu me dises ce que j'ai toujours voulu entendre.

Ce tourbillon d'amour que je ressens à l'intérieur de mon cœur, cet air frais dans mes poumons, ce poids qui s'envole de mes épaules, je remarque que je n'ai pas tout fait ce chemin pour rien. Je t'aime, je t'aime vraiment.

J'ai su depuis le début que tu était cet être fragile sous une grosse carapace qi ne demandait qu'à être apprivoisé. On m'a souvent dit d'abandonner, mais je ne pouvais jamais me raisonner à le faire car, à mes yeux, tu en as toujours valu la peine. Les sentiments que j'éprouve envers toi sont d'une puissance inestimable, tu crois savoir à quel point mais tu n'as vu que la pointe de l'iceberg. Tu as vu les pires facettes de moi comme les meilleures, t'as su me relevé quand j'étais à mon plus bas en me donnant une petite tape dans le dos afin de m'encourager à foncer encore plus fort dans les embûches que la vie a mis sur mon chemin.

T'es mon précieux, mon humain préféré, ma roche, mon ange gardien. Je t'ai toujours aimé tel que tu es et j'apprends désormais que ça toujours été réciproque. On s'est connus au plus bas donc ça ne peut qu'aller en montant, même sans argent sans maquillage sans rien t'as su m'apprécier.

***

J'ai cru que tu m'aimais. Aussi con que cela puisse paraître, bien évidemment. J'ai cru que lorsque tu me disais que tu n'étais pas comme les autres, que s'était bel et bien vrai. Que quand tu disais que j'étais merveilleuse, adorable, gentille et que je ne méritais que de l'amour, j'y ai cru. Quand t'as dit que je méritais mieux que quelqu'un qui allait juste me fourrer pis partir, ça aussi, j'y ai également cru.

T'as vu mes convos, mes screenshot avec ce que tu disais des ''dudes'' qui te dégoûtaient seulement à voir comment ils me parlaient. Tu disais qu'une femme ça méritait avant tout le respect, la confiance... à croire que t'as fait un copié-collé d'un conte de fées sans même avoir lu ce qu'ils disaient.

Je t'ai laissé ta chance parce que de tous les autres, tu semblais être le plus vrai. Le plus beau, le plus gentil, le plus humain, le plus terre-à-terre. Tu m'as parlé qu'ton cell était brisé, j'ai immédiatement quitté notre convo Messenger, été sur le site de Best Buy te pogner le cellulaire le plus récent, s't'ais pas un Samsung Galaxy S10 mais s'était d'quoi d'quand même pas pire, j'me suis dit que vu que tu sortais de l'hôpital pour tentative de suicide vu qu'tu t'aimes pas, quand t'es venu chez moi (alors que personne n'y avait mis les pied depuis longtemps, faute de confiance) j'ai voulu te donner tout l'amour du monde afin que la pensée de te suicider ne te vienne plus jamais à l'esprit, mais bon, je le sais moi-même, une tête malade, c'est souvent dur à guérir même si on a le plus grand cœur du monde.

Je t'ai offert une parti de moi qui était exclusive, des secrets que même Andy n'avait probablement jamais su. S'était naturel pour moi de te confier à toi, comme si je t'avais connu toute ta vie. Je pensais avoir enfin trouver quelqu'un que, même si on finissait pas ensemble comme couple, que j'aurais pu avoir un merveilleux ami pour la vie. Or, je réalise que je me trompe souvent.

Dans l'fond, j'imagine que j'ai peut être eu l'air à premier avis d'une crisse de folle, à aimer autant ta personnalité, ton extérieur et à vouloir t'aider du plus profond de mon être mais, à l'intérieur, c'est vraiment comme ça que je me sentais. À moins que tu crois que je suis une salope qui se donne à n'importe qui, ça expliquerait pourquoi ça fais une semaine que tu m'ignores comme si on n'avait jamais passés les trois plus beaux jours depuis un crisse de bout.

J'sais qu's'pas toute mon entourage qui a été ben ben réceptif pis s't'ais sûrement pas l'activité la plus fun de vedger chez nous, mais pour moi j'avais besoin de me reposer et en toi je sentais un immense confort. Tellement que, quand t'es parti pis que plus tard j'm'étais rendue compte que t'avais oublié ton bandana, je l'ai gardé près d'moi quand j'dormais car il avait ton odeur et que cette dernière m'apaisait.

J'ai envie d'me dire que j'ferai pu confiance à personne pis c'est sûrement vrai pour un criss de bout, t'as fracturé ma coquille que j'pensais avoir suffisamment protégée, à croire faudra j'la fasse encore plus solide pour que vraiment personne réussisse à me faire verser autant de larmes en si peu de temps. J'pensais être assez forte la prochaine fois, mais j'pense que m'a hiberner un hiver de plus dans mon cocon... ou trois.

Pour une fois je pensais vraiment que j'étais assez belle, assez fine, assez intelligente pour qu'un homme de ton calibre puisse potentiellement tomber en amour avec moi. Mais bon, ce n'est pas tous les princes qui voudraient de Fiona! J'pense j'ai pleuré assez fort j'aurais pu me noyer, j'ai tellement de violence en moi présentement j'aurais qu'envie de prendre ce super téléphone que je t'ai donné et le casser en morceaux, parce que tant qu'à avoir gaspillé de l'argent aussi bien que ce soit rentable! J'ai de la rage, mais surtout de la peine à l'intérieur de mon être.

PS: J'fais quoi ak le kit de Sharpie pour la peau?

Dans l'fond, j'peux pas m'empêcher de penser que soit ta santé mentale te joue des tours, soit que t'en as rencontré une de juste plus belle, plus fine, moins grosse et, surtout, plus stable mentalement. Dans l'fond j't'en voudrais pas d'avoir fait comme les autres dudes, pis devenir qu'un vieux screenshot toi aussi.

J'sais pu quoi t'écrire, je pense juste à brailler, j'ai beau essayer d'me changer les idées ta belle face revient toujours au galop. J'pensais qu't'étais, pis qu'tu valais, beaucoup plus que ça

***

Dans le fond, j'aurais juste souhaité que tu aies le même intérêt pour moi après m'avoir vue qu'avant. J'ai l'impression de t'avoir déçue, de t'avoir complètement turn off. Je pensais qu'on avait eu beaucoup de plaisir ensemble, qu'on avait développé une complicité mais depuis ton départ je me sens ignorée. Comme si le cadeau que je t'avait fait n'était pas important, comme si tu m'avais fourrée pis que t'étais partie. Tu m'avais pourtant promis que t'étais pas n'importe quel autre ''dude'', pour citer exactement ce que tu m'as dit, tu m'avais pourtant juré que tu voulais une plus profonde connexion que juste du sexe. Avec n'importe quel gars sauf toi je pensais me sentir comme un objet par la suite, j'ai l'impression que notre super séjour et les photos de toi qui me dévore du regard ne sont que de simples illusions. J'ai le cœur en miettes, mais cette fois-ci, les fissures sont plus creuses car je m'étais promis de ne plus jamais m'ouvrir à quelqu'un, c'est juste que mon feeling envers toi était bon, j'pensais que j'pouvais écouter mon intuition. J'ai encore ton bandana avec ton odeur dans mon lit, tes bas qui traînent sur mon bureau, j'me sens juste inconsolable depuis la dernière semaine, à croire que je suis un réel fardeau dans ton Facebook Messenger. J'ai juste peur parce que je sais que tu files moyen ces jours-ci mais surtout que la semaine passée tu étais à l'hôpital pour une tentative de suicide, tu ne vois peut être pas ta valeur mais moi je vois que de ce que j'ai pu voir en quelques jours, le monde ont besoin de gens comme toi et si jamais tu mettais réellement fin à tes jours je me sentirais coupable toute ma vie de ne pas t'avoir assez aimé pour que tu vois le potentiel à la vie. T'es important et ces quelques jours avec toi m'ont montré que je mérite d'être aimée, peu importe que tu veules de moi ou pas dans le fond je veux juste que tu sois en vie, j'suis capable de dealer avec le fait qu'on ne m'aime pas mais pas avec celui que quelqu'un n'avait plus envie de vivre.

***

T'es tellement pas comme moi, à croire qu'on vient de deux univers différents.

Pas juste parce que t'es blond, pis qu'j'suis brune,

Pas juste parce que t'es grand, pis j'suis p'tite.

T'as eu ta vie dure, j'ai eu ma vie de princesse.

Ton père est parti, l'mien est resté.

Le tien est parti au ciel avant son temps, l'mien on est comme les deux doigts d'la main.

T'était enfant unique ak ta mère, j'ai quatre frères et sœurs.

On ''poppait'' des pilules, mais les miennes étaient prescrites et pas achetées dans rue.

Pourtant, les deux on a fini à l'hôpital pour overdose.

T'as vécu dans les années 90, et moi, dans les 00'.

Quand t'allais au Jean Coutu s't'ais pour t'acheter des smokes, moi du maquillage en quantité industrielle.

Mais les deux, on a fini sur l'aide sociale. Les deux, on a croisé le chemin de l'autre, et maintenant, les deux, on peut pas vivre sans l'autre.

Même si on a vécu deux vies parallèles, même si t'as toute l'expérience du monde pis que j't'encore au stade débutante,

Ta vie de citadin pis ma vie de campagne,

Le reste du chemin s't'avec toi j'veux l'faire.

J'ai espoir que nos différences peuvent faire le plus beau des mélanges,

Qu'entre Shawi pis Montréal on va trouver un terrain d'entente pour camper pis faire notre vie.

***

Tu me manques.

Oui, déjà.

J'ai cette folle envie d'être collée à tes côtés, d'avoir ma main sur ton torse alors que ton bras droit m'entoure. D'être blottie dans la chaleur de ton cou, de sentir ta crinière sur mon front. J'ai envie que tes doigts caressent mon dos, que tes lèvres et tes yeux soient plongés dans ma direction.

J'ai envie d'agripper ton visage et de caresser ta peau douce à l'aide de mon pouce, j'ai envie de passer ma main dans tes cheveux pendant des heures alors que tu as la tête blottie dans ma poitrine, j'ai envie de te donner cette sensation de confort et de bien-être. De sentir ton souffle chaud dans mon cou, de sentir tes lèvres me donner des centaines de baisers.

J'ai envie que tu sois par dessus moi, tes bras placés de chaque côté de ma tête, pis qu'tu m'fixes en m'disant à quel point j'te fais de l'effet... avant de déposer tes lèvres sur les miennes. Qu'on s'embrasse, collés peau à peau, avec des gestes de plus en plus cochons, comme des bisous qui se transforment en french. J'ai une soif de toi dont je ne parviens pas à me désaltérer, cette envie que nous soyons de plus en plus proches.

Avec toi, j'ai envie de découvrir une fois pour toutes ce que j'aime et ce que j'aime pas, j'ai envie que tu me guides par la main vers le septième ciel, j'ai besoin de quelqu'un d'aussi patient et charmant que toi, quelqu'un dont la voix parvient à me faire chavirer, et dont les yeux me font plonger dans monde là où mes problèmes n'ont guère existence.

Tu es l'effet ''baume'' dont j'avais besoin, si j'aurais pu je t'aurais gardé pour encore plus de jours, j'essaie de réfléchir mais je ne crois jamais avoir rencontré quelqu'un d'aussi gentil à mon égard.

***

Si seulement t'étais là Andy.

J'vais tellement pas bien, pis t'es l'seul qui sait quoi faire pendant ces situations-là.

J'ai trop travaillé, pas dormi, j'ai poussé mon corps à bout. J'ai rencontré quelqu'un, j'me suis attachée, j'suis dépendante... à quelqu'un qui répond pas à ses textos.

Et là je pleure, sans répit, ma cage thoracique tremble et me fait mal. J'ai pas faim, j'ai pas envie de rien faire. J'sais même pas si j'ai mangé un bon repas normal cette semaine, en fait.

La seule chose qui parvient à me réchauffer le cœur, c'est tes appels et tes textos. De voir à quel point tu tiens à moi, quand tu m'parles d'me coller pis d'me faire des gros câlin j'ai juste le cœur encore plus gros de savoir qu'on ne se voit pas avant soixante-six jours. De savoir que y a au moins un humain sur cette terre qui tient à moi, qui en aurait au moins un qui aurait d'la peine.

Merci de t'inquiéter. Merci de savoir les racoins de chacune de mes maladies et de gérer en fonction de celles-ci. J'sais pas s'que j'ai fait mériter un meilleur ami de la sorte mais y a pas une fois que j'remercie pas la vie de t'avoir mis sur mon chemin, t'es mon adulte préféré mon rayon de soleil ma roche, t'es faite fort pis j'espère moi aussi, quand m'a être grande, que m'a être comme toi.

Je t'aime.

***

Qu'on me le demande une ou vingt-quatre fois, la réponse va demeurer la même.

J'ai ce démon à l'intérieur de moi, cette maladie qui me semble non seulement incurable, mais également grandissante.

Non, ça va pas.

J'ai mal à l'estime de soi, une fracture au niveau de la confiance. J'fais juste pleurer depuis trois jours, des larmes incontrôlables.

C'est la pire douleur à ressentir quand on a l'impression que notre entourage en entier nous déteste, comme si nous avions fait de quoi de mal. Penser à chaque petit geste que j'ai pu faire lors d'interactions avec quelqu'un. Rejouer en boucle chacune des paroles dites, voir si quelque chose aurait pu être mal interprété. Penser que si quelqu'un ne nous répond pas, c'est qu'il nous a crayonné un ''x'' rouge pour toujours.

Je le sais, à l'intérieur de moi, que je dois me dire que les gens sont occupés, qu'ils ont travaille, famille, amis et même animaux, leurs loisirs... mais j'ai toujours cette arrière-pensée que j'aurais fait quelque chose de ''pas correct'' qui fait en sorte qu'on me déteste. Si l'on me dit qu'on a une question à me poser, je fige instantanément. J'ai des flashback de ma journée, mais je n'arrive pas à trouver le pépin. ''puis-je te demander quelque chose?'' non, tu ne peux pas, mon cœur arrête chaque fois.

J'aimerais être normale, ne pas pleurer et m'effondrer lorsque quelqu'un ne m'écrit pas, ne pas penser mille et un scénarios lorsqu'on ne m'attribue pas d'attention. Qu'on arrête de me dire de tout simplement me ''calmer'' alors que j'ai la poitrine endolorie à force d'en faire sortir des sanglots.

Je ne peux pas demander à tout mon entourage de m'écrire ''inquiète toi pas, je t'aime, tout va bien aller'' à chaque fois que mon monde s'écroule, j'le sais. Faut j'vieillisse, j'réalise à quel point c'est des enfantillages et que je ''man up''.

J'espère juste que, la prochaine fois que mon téléphone va sonner, que ça va être toi et non les notifications de mon stupide jeu.

***

À tous ces hommes qui me font sentir inférieure.

À tous ceux qui me font de la peine en me dégradant au stade d'objet, comme si ma personnalité et la personne que je suis n'étaient pas importants.

À ceux qui me demandent ma position préférée, si je suce, si j'avale, mais jamais comment ça va et qui ne veut jamais jaser autour d'un café.

À tous ceux qui croient appropriés les commentaires sur ma poitrine et mes fesses, à ceux qui me disent que j'ai des lèvres de suceuses.

Qui ont le double de mon âge et me parlent de choses qui ne font pas de sens. Qui viennent me parler seulement dans leur taux d'alcoolémie a dépassé la limite permise, quand l'inhibition a perdu la map.

Vous me faites perdre foi en l'amour, mais bon, l'amour s'pas votre ''jam'' ça. Pourquoi risquer de tomber en amour, de toute façon, ça vire toujours en marde, à ce qu'il paraît. C'est à croire que certains gens ont une réelle phobie, alors que l'autre moitié (et je dois en faire partie!) rêve encore de la douce moitié, dans un monde de licornes rose et sans fin. Des fois j'me demande si j'ai pas juste trop écouté de films de princesses ou si j'trop optimiste vis-à-vis finir ma vie avec quelqu'un qui va m'trouver moindrement potable côté personnalité.

J'le sais que j'pas la seule la dedans, mais j'peux pas m'empêcher de penser à chaque criss de fois que j'suis juste pas assez. Pas assez belle, pas assez mince, pas assez intéressante pour que le monde reste. Pis chaque fois j'me sens comme d'la criss de marde de pas être la fille dont les hommes rêvent même si, dans l'fond, on l'sait qu'c'est juste l'ère dans lequel on vit.

Ne me contredisez pas, des exceptions, ça existe et je le sais, et j'ai hâte de trouver la mienne. Mais c'est quand même fréquent comme phénomène. Quoi que des criss d'épais, fait sûrement des lustres que ça existe, mais avec l'arrivée d'internet, ils sont encore plus accessibles.

Pis oui, encore un texte cliché. D'une fille tannée. Qui déprime le soir avant d's'endormir parce qu'à s'dit qu'a vaut rien d'autre qu'une p'tite vite, qu'une baise avec quelqu'un qui aura jamais de sentiments pour elle.

Parce qu'un gars qui veut te fourrer te fera tous les compliments du monde, mais ça en prend un vrai pour rester avec toi dans le lit à place de s'empresser de s'rattacher les culottes pour partir. Tu t'dis qui t'manque sûrement de quoi si y finissent toute par se sauver, mais dans l'fond, c'est un manque de confiance de leur part.

J'imagine qu'un jour chaque torchon va trouver sa guenille.


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