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J'vois embrouillé. J'essaie de l'appeler sans cesse - aucun résultat. J'capote intérieurement j'ai d'là misère à écrire mais j'sais qu'c'est la seule façon que j'sois pu en tabarnack... au diable de pas écrire ma vie sur Facebook... j'le fais sur mon blogue, tiens. Je m'y attendais vu la personne que je suis et les jours que je venais de passer, mais je suis tout de même profondément blessée que la cause soit complètement fausse... j'voulais pas t'perdre en tant qu'amie, pas du tout. Sinon j'aurais pas des pincements dans l'coeur, d'la misère à respirer pis j'serais pas en train d'brailler la face crispée d'rage. J'relis l'article qui a mit fin à notre amitié pis j'arrête pas d'capoter parce que j'parlais pas d'toi... On avait pas de troubles justement parce que justement je slaquais Facebook & compagnie. Quand j'avais du mal ou d'la rancune, j'pleurais du seule dans ma chambre au lieu d'écrire un statut qui aurait fait juste une couple de likes. J'sais même pas quoi faire en s'moment, j'ai la tête à l'envers. Non, s't'ais pas correct ni normal qu'on soit amies mais maudit que j'tenais à toi, malgré s'que l'monde pouvait dire, j'm'en crissais des préjugés, noer on fait juste ça me juger à journée longue! J'me mets les mains dans face de découragement, j'pu capable, j'pensais avoir tout fait être une bonne personne pis ENCORE que j'me sens négligée par ma famille et ceux que je croyais être mes meilleurs amis... je l'sais ben qu'c'est ma faute, mais ça m'met à l'envers. Dans l'fond, s't'article là avait pas été publié la dernière fois par un bogue, ça devait sûrement dire quelque chose... mais je parlais même pas d'toi, criss... crois-moi, j't'ai toujours dit s'que j'pensais depuis qu'on était redevenues amies. J'perds des jobs, pis des amis... mais c'est irréversible ça va m'hanter toute ma vie, criss de Facebook de marde! Ah non c'est vrai c'est aussi parce que je veux des tatoos... tsé, le monde avec des tatoos et opinions c'est MAL... comme s'que j'ressens en s'moment... caliss... j'va essayer d'aller m'or'coucher, j'en reviens juste pas, calice que ça me démolie pis qu'ça vient d'me mettre à l'envers sur un criss de temps. «