Nous n'aimons plus.

Pas de la génération Snapchat et Tinder

Dans le fond, je veux pas faire un article super soigné où que je fais ma hipster en disant que je suis différente que tout le monde... alors je vais dire la vérifé: NOUS ne sommes pas tous comme dans la vidéo qui circule sur Facebook. Son texte, de l'anglais This is how we date now, est présenté comme suit: (oui c'est moi qui fait la traduction pourrie)

PS: JE NE DIS PAS QUE LE TEXTE EST MAUVAIS

si vous ne voulez pas lire ceci, "skippez" jusqu'à en bas là où le texte ne sera plus gras et italique

Nous ne nous engageons plus. Nous n'en voyons plus le point. Ils disent toujours qu'il y a qu'il y a beaucoup de poissons à la mer, mais jamais cette mer n'a jamais été au bout de nos doigts sur OkCupid, Tinder, Grindr, Dattch, choisisez le votre. Nous pouvons commander un être humain de la même façon que nous pouvons demander un met thaï chez Seamless. Nous pensons des mensonges intimes dans une filée parfaitement exécutée d'émojis. Nous pensons que, de faire un effort, c'est de texter "bon matin". Nous disons que la romance est morte, peut-être car elle l'est, mais peut-être avons nous seulement besoin de la réinventer. Peut-être que le romantisme dans nos temps modernes est de laisser le téléphone de côté assez longtemps afin de vous regarder dans les yeux lorsque vous soupez. Peut-être que le romantisme est de supprimer Tinder de votre cellulaire après une première rencontre avec quelqu'un. Peut être que le romantisme est toujours ici, que nous ne savons seulement pas à quoi il ressemble maintenant. Lorsque nous choisissons - si nous nous engageons - nous sommes toujours à un oeil, explorant les options. Nous voulons la belle coupe de filet mignon, mais nous sommes trop occupés à zieuter le buffet médiocre, car il offre du choix. À cause qu'il offre du choix. Nos choix nous tuent. Nous pensons que "choix" signifie quelque chose. Nous croyons que les opportunités, c'est bon. Nous pensons que le plus de chances que nous avons, mieux c'est. Mais, cela dilue tout. Ne pensez même pas à franchement se sentir satisfait, nous ne savons même plus ce à quoi ressemble la satisfaction, comment elle sonne et comment elle est ressentie. Nous sommes à un pied de l'extérieur de la porte, car en dehors de cette porte il y a plus, plus, plus. Nous ne voyons pas qui est en face de nos yeux demandant d'être aimé, car personne ne demande à l'être. Nous longeons pour quelque chose que nous voulons encore espérer qu'il existe. Cependant, nous recherchons le prochain délire, la prochaine excitement, le prochain instant de gratification. Nous nous apaisons et distrayons et, si nous ne sommes même pas capables de faire face aux démons dans notre propre cerveau, comment pouvons nous s'attendre à laisser quelque chose sortie, d'aimer quelqu'un lorsqu'il n'est pas facile de l'aimer? Nous refloueons. Nous partons. Nous voyons un monde sans limites d'une façon qu'aucune génération avant nous n'a vu. Nous pouvons ouvrir un nouvel onglet, regarder des photos du Portugal, sortir une Visa et planifier un billet d'avion. Nous ne le faisons pas, mais nous pouvons. Le point est que nous savons que nous pouvons faire, même si nous n'avons pas les ressources pour le faire. Il y aura toujours d'autres options alléchantes. Ouvrant Instagram et voyant la vie des autres, la vie que nous pouvions avoir. Voir des endroits ou nous n'avons pas voyagé. Voir des vies que nous vivons pas. Voir des gens dont on ne fréquente pas. Nous nous bombardons avec stimulire, enter, enter, enter, et nous nous demandons pourquoi sommes nous misérables. Nous nous demandons pourquoi sommes nous insatisfaits. Ne nous demandons pas pourquoi rien ne dure et que tout semble désespérant. Car nous n'avons aucune idée de comment voir nos vies pour ce qu'elles sont, au lieu de ce qu'elles ne sont pas. Et, même si ne le trouvons. Supposons que nous trouvons cette personne que nous aimons et qui nous aime. Engagement. Intimité. "Je t'aime". Nous le faisons. Nous le trouvons. Ensuite, rapidement, nous commençons à le vivre pour les autres. Nous disons aux gens que nous sommes en couple sur Facebook. Nous lanceons nous photos sur Instagram. Nous devenons un "nous". Nous le faisons paraître brillant et parfait car ce que nous choisissons de partager sont les grands titres de la bobine. Nous ne partageons pas nos chicanes de trois heures du matin, nos yeux rouges, nos draps tachés de larmes. Nous n'écrivons pas des statuts à propos de comment leur amour pour nous fait briller une lumière sur nous où est-ce que nous ne nous aimons pas. Nous ne tweetons pas 140 caractères de tristesse lorsque nous avons le genre de conversations qui peuvent faire que le futur de notre amour "passe" ou "casse". Ceci n'est pas ce que nous partageons. Photo éclatantes. Couple heureux. L'amour est parfait. Ensuite, nous voyons ces autres couples heureux, resplendissants, et nous comparons. Nous sommes la génération des émojis. La culture du choix. La génération de la comparaison. Mesurer. Assez bien. Le meilleur. Jamais auparavant nous avons eu une corne d'abondance aussi incroyable de marqueurs pour ce qu'il semble être de vivre la meilleure vie possible. Nous enterenter, enter, et nous nous trouvons bientôt en désespoir. Nous ne serons jamais assez bien, car nous tentons de nous mesurer à ce qui n'existe tout simplement fucking pas. Ces vies n'existent pas. Ces relations n'existent pas. Tout de même, nous ne pouvons y croire. Nous le voyons avec nos propres yeux. Et, nous le voulons. Et, nous allons nous rendre misérables jusqu'à temps que nous l'aillons. Alors, nous cassons. Nous cassons car nous ne sommes pas assez bien, nos vies ne sont pas assez bien, notre relation n'est pas assez bien. Nous balayons, balayons, balayons, encore juste un peu sur Tinder. Nous commandons quelqu'un à notre porte exactement comme une pizza. Et, le cycle recommence. Émojis. Les textos "bon matin". L'intimité. Mettre le téléphone de côté. Selfie de couple. Couple heureux, rayonnant. Compare. Compare. Compare. L'inévitable fluage de latent, un subtile mécontentement. Les chicanes. "Quelque chose ne va pas, mais je ne sais pas ce que c'est." "Ça ne fonctionne pas". "J'ai besoin de quelque chose de plus". Ensuite, nous nous séparons. Un autre amoure de perdu. Un autre cimetière de selfies de couple heureux, rayonnant. Passons au suivant. Cherchant pour le "plus" insaisissable. La prochaine dose. La prochaine satisfaction. Le prochain coup rapide. Vivant nos vies en 140 caractères, en snaps de 5 secondes, images filtrées glacées, films de quatre minutes, attention ici, attention là. Plus comme un illusion. Nous nous soucions à propos de décanter, tout en nous faisant souffrir pensant que ce n'est rien de moins que la rayonnante, heureuse vie filtrée que nous avons été habitués à, est décanter. Qu'est-ce que décanter? Nous ne le savons pas, mais nous ne le voulons fucking pas. Si ce n'est pas parfait, c'est décanter. Si ce n'est pas une amour filtrée aux paillettes, décanter. Si ce n'est pas digne de Pinterest, c'est décant. Nous realisons que ce "plus" dont nous voulons est un mensonge. Nous voulons des appels téléphoniques. Nous voulons voir un visage que nous aimons absent du bleu obsur d'un écran de téléphone. Nous voulons de la lenteur. Nous voulons de la simplicité. Nous voulons une vie qui ne nécessite pas une validation de j'aime, favoris, commentaires, thumbs up. Nous ne savons peut-être pas tout de suite que nous le voulons, mais c'est vrai. Nous voulons une connection, une vraie. Nous voulons un amour qui se construit, pas un amour qui s'écarte pour la prochaine dose. Nous voulons revenir à la maison où il y a des gens. Nous voulons coucher, nos têtes à la fin de nos vies et savoir que nous avons bien vécu, que nous avons vécu le fuck out de nos vies. Ceci est ce que nous voulons même si nous ne le savons pas encore. Malgré ça, ce n'est pas comment nous fréquentons maintenant. Ce n'est pas comment nous aimons maintenant.
Bon, mon article à s't'heure...
J'adore le texte, mais je déteste cet emploi surexploitée du "nous". En général, lorsque j'écris sur mon blogue, je parle au JE et pas au NOUS car c'est moi qui fait ci et ça... le gars parle comme si toute la société entière aimait comme des merdes et dieu sait que ce n'est pas vrai... du moins, pour certains.

C'est quoi ça de dire que nous ne nous engageons plus? Viens d'passer quatre ans, dont deux ans pour chacun des copains j'ai eu!!! Bon, le reste je m'en fous un peu vu que je suis contre les sites de rencontre... "Commander un être humain" ... fuck t'as jamais été dans un strip club?

Et si vous passez des mensonges dans vos textos, du coup... vous êtes cons, tout simplement. Et aucune génération mérite d'être blâmée pour de la simple stupidité. Pis si tu prends ton cell quand t'es avec ton chum et chez eux (sauf si vous habitez ensemble)... j'veux même pas t'entendre débattre... soit t'es accro, soit t'es débile profond. Peut être un peu des deux, dans le fond.

Faut arrêter de chercher l'amour comme des perdus, aussi... c'est quand qu'on arrête de chercher qu'ont trouve. Ce texte m'enrage, du début jusqu'à la fin... fais une couple de semaines que je l'avais mis de côté, l'article, justement, sauf que j'étais tannée d'le voir din brouillons...

Si tu sais pas c'est quoi la satisfaction, genre de compagnons ;-)

Quand tu vois la vie de quelqu'un sur Instagram, je vous en supplie... souvenez vous que ce n'est qu'une facette. Les filles qui mangent toujours au resto et qui s'achètent toujours vêtement et maquillage, c'est pas vrai, ça. How to trick people into thinking you're rich... Les photos des gens avec du ca$h d'in mains... ben s'peut être tout s'qui ont pour le mois. La bulle, ça prend pas ben ben de temps avant qu'à l'éclate...

Si tu vis pour les autres, tu viens d'entrer dans la catégorie des "ratés". Je veux dire, tu peux mettre des photos de couple, c'est sûr... mais pas chaque jour en décrivant votre vie. Là, c'est vrai que vous vivez pour les autres. Et "nous ne partageons pas les chicanes" BEN DUHHHHH!! Si quelqu'un me dit "pis depuis le temps?", j'irai pas dire que j'ai manger des cheetos en pleurant pis en jouant à COD (m'a vous dire la vérité, c'est des biscuits chinois pas des cheetos!)... tsé me semble que c'est logique et pas juste à cause des Internets.

Pis c'est clair que tout le monde va comparer, criss! Quand tu vas chez quelqu'un... tu compares sa maison à la sienne... tu te compares à lui... tu check si ses parents sont pires que les tiens, tu check toute... ben en couple... tu compare, pis plus t'as d'ex, plus le lot à comparer et fort.

Essayer de se mesurer à quelque chose qui n'existe pas, soit la perfection, c'est con. Qui essaie vraiment de faire ça, au juste?

Pis si tu recommences tes relations toujours de la même façon... s'pas l'internet ton problème, t'es juste un criss de dépendant affectif.

"Vivant nos vies en snaps de 5 secondes".... bon, je hais snapchat. Voilà, c'est dit. J'aime juste voir Da Kurlzz ;-)

Se forcer pour une relation c'est comme se forcer pour être bon à quelque chose... What the fucking fuckedy fuck.
J'en reviens pas comment s't'article là m'frustre chaque fois que j'le lis... c'est horrible.

On est pas des robots toujours sur nos cells.

Oui, on l'est, intelligents!

Oui on en a des vraies relations amoureuses!

Non, on est pas des zombies.

On est comme vous, les "vieux".

C'est juste que nous, nos cellulaires font plus des trucs.

 

Commentaires

  1. Des textes comme ca y'en a par milliers, de nos jour y'a bcp de gens qui pensent que l'amour c'est ca maintenant, mais s'ils arrêtaient de penser comme ca peut-être que leurs relations iraient mieux tser. La photo ca me rappelle la fois où je t'ai fait faire un tour de panier en arrière du Wal-Mart, proche de chez mon père hahaha :) c'était bien drôle. Bon article je t'aime xxx

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    1. C pour ca Je lai Mise la photo haha xxxxxxx avec les ducking canard

      Mom autocorrecteur Crée des blagues

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