Charlie, compagnon de mon lit (non terminé)

écrit le 15 mars 2013

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Si le gars en question lit ça, oops, mais rappelle toi que ça date de quatre presque cinq ans. LOL.

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Épilogue

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Cours de maths

J'étais en maths. Il est assis en avant de moi. Ses cheveux coiffés au gel, ses vêtements de marque, son sourire entouré de repousses de barbe, ses traces d'adolescence au visage, ses palettes un peu croche mais le tout forme sa beauté exemplaire. Ça, et... son corps musclé. J'ai commencé à lui parler lorsqu'il y a eu un party et je lui ai demandé une quesiton sur cette fameuse fête puisqu'il y était. Et, après, bien heureusement, le prof nous a switchés de place, tous les deux. Ça veut dire qu'il était en arrière de moi. Donc, c'est bien entendu, je me retourne toujours. De toute façon, il a perdu son manuel! C'est rendu que je travaille sur son bureua. Même s'il copie parfois mes réponses, je m'en fiche royalement! Tant qu'il passe et qu'on soit dans la même classe l'an prochain! Et même là, je l'aiderai encore. Je l'aidais en éthique aussi. Je l'aide encore. Je les aide, lui et son amis Alexis. J'ai sentie une vraie connection lorsque, pendant les vacances de Noël, il était si gentil, si doux (par texto!). Il m'a tellement rassurée à propos de qui je suis et à propos de comment je me perçois, un vrai gentleman!


Mais jamais je n'aurais cru que, moi et lui, ça aurait marché... quand un camarade devient un fantasme, et un fantasme, la dose dont j'avais besoin, si vous cimprenez ce que je veux dire...

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Il m'aviat invitée à une fête. Je m'étais bien coiffée ainsi que bien maquillée. Mes cheveux étaient bouclés ainsi que, mon maquillage, lui, était un gros smokey gris sur mes yeux et un rouge à lèvres rose. Mon regard était sexy.

Tu es vraiment belle, m'avait-il dit.

J'avais rougi. Je portais une robe noir, bien serrée, afin d'épouser chaucne de mes formes. On arriva ou la fête avait lieu. Charlie n'aviat aucune honte à me vanter, comme si j'étais un trophée. On alla dans le salon. Il y avait seulement une dizaine de gens arrivés. Il caressait ma cuisse.

Voulez-vous quelque chose à boire? demanda une femme d'enivorn une trentaine d'années.

Nous demandâmes de l'alcool. Quelques minutes plus tard, il y aviat plus d'une centaine de personnes dans ce palace qui servait de maison. La musique jouait très fort. Je me frottais bien le derrière sur Charlie. Je sentais son sexe devenir de plus en plus dur à travers ses pantalons moulants. Je me retournai, le regard sensuel, pour enfin l'embrasser langoureusement. Ses grandes mains aggripaient mon cul, me soulevèrent et il m'emmena dans la chambre d'invités. Il se déplaça vers le lit et me laissa tomber sur une tonne d'épaisses couvertures. Il était debout. Ah, j'avais tant envie de lui, c'est fou! S'était ma proie. Je détachai ses pantalons, les baissa pour ensuite admirer le morceau de viande qui se présentait devant moi. Je le mis dans ma bouche,

(le fait que j'ai écrit ça me donne envie d'me tirer une balle mais qui dit sexe dit argent sur se blogue donc)

faisant des mouvements de va-et-vient. Ah, que ça goûtait bon!

(tuez moi stp)

Ensuite, il m'a

(fiou y a pas de suite)


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