encore et erocne
La douleur et le sentiment de déjà vu se font sentir.
Ma respiration est courte, mon être en entier tremble tellement que la douleur émotionnelle est intense. Je mets loin de ma disposition les objets tranchants, ceux avec lesquels je pourrais calmer mon mal intérieur. Je prends mes médicaments miracles espérant qu'ils me fassent oublier le mépris qui t'habite sur ma personne.
J'ai calicement mal... encore la même histoire qui se répète.
Ils partent, ils partent tous.
Mon coeur d'jeune fille amoureuse saigne intensément. chaque fois qu'j'essaie d'réparer les pots cassés j'ai brise encore plus.
S'comme si j'utilisais une colle qui n'allait jamais coller sur les pots dont je casse, comme si je parvenais à faire tout ce que je ne tente pas de faire.
Y a des larmes partout sur le chat, oreiller, téléphone, les cahiers et les vêtements.
C'est la faiblesse qui ronronne à l'intérieur de mon ego.
J'ai ce coup de pognard au coeur, ce déchirement qui s'est produit dans mon esprit.
Être aussi forte que tu dis que je devrais être, j'devrais probablement calisser mon camp. Non pas aller à Montréal pour les traitements médicaux ou bien en Ontario pour oublier, mais loin. Genre, vraiment loin, au sens propre et figuré.
J'ai la face un peu trop crispée, un peu trop rouge pis un peu trop humide. Les paupières boursoufflées de toute cette tristesse dont tu m'indisposes. Ses ridules irritées de toutes ces fois ou je tente de me relever mes manches et d'essuyer mes pleurs avec.
J'ai cette morbide envie de couper chaque centimètre de peau qui m'englobe, calice que ça m'fais chier j'aurais envie d'casser toute la porcelaine dont contiennent mes armoires. Tu m'donnes envie d'puncher l'mur comme si s'était un visage, de crier après l'oreiller comme si s'était elle qui me disait que j'étais faible, une incapable et une moins que rien.
Fallait ben qu'j'écrive un article comme quoi tout allait bien pour qu'le poids du monde me retombe ses épaules. Après tout, tant qu'à tout garder ça en dedans de moi, aussi bien le canaliser en dollars, pas vrai?
J'peux au moins m'rassurer qu'j'ai mon meilleur ami qui saura toujours rajouter son brin de soleil à mes péripéties pendant que tu sècrètes une trop grande quantité de nuages. T'es mon cumulus préféré, celui qui crée les plus beaux arcs-en-ciel.
Ma respiration est courte, mon être en entier tremble tellement que la douleur émotionnelle est intense. Je mets loin de ma disposition les objets tranchants, ceux avec lesquels je pourrais calmer mon mal intérieur. Je prends mes médicaments miracles espérant qu'ils me fassent oublier le mépris qui t'habite sur ma personne.
J'ai calicement mal... encore la même histoire qui se répète.
Ils partent, ils partent tous.
Mon coeur d'jeune fille amoureuse saigne intensément. chaque fois qu'j'essaie d'réparer les pots cassés j'ai brise encore plus.
S'comme si j'utilisais une colle qui n'allait jamais coller sur les pots dont je casse, comme si je parvenais à faire tout ce que je ne tente pas de faire.
Y a des larmes partout sur le chat, oreiller, téléphone, les cahiers et les vêtements.
C'est la faiblesse qui ronronne à l'intérieur de mon ego.
J'ai ce coup de pognard au coeur, ce déchirement qui s'est produit dans mon esprit.
Être aussi forte que tu dis que je devrais être, j'devrais probablement calisser mon camp. Non pas aller à Montréal pour les traitements médicaux ou bien en Ontario pour oublier, mais loin. Genre, vraiment loin, au sens propre et figuré.
J'ai la face un peu trop crispée, un peu trop rouge pis un peu trop humide. Les paupières boursoufflées de toute cette tristesse dont tu m'indisposes. Ses ridules irritées de toutes ces fois ou je tente de me relever mes manches et d'essuyer mes pleurs avec.
J'ai cette morbide envie de couper chaque centimètre de peau qui m'englobe, calice que ça m'fais chier j'aurais envie d'casser toute la porcelaine dont contiennent mes armoires. Tu m'donnes envie d'puncher l'mur comme si s'était un visage, de crier après l'oreiller comme si s'était elle qui me disait que j'étais faible, une incapable et une moins que rien.
Fallait ben qu'j'écrive un article comme quoi tout allait bien pour qu'le poids du monde me retombe ses épaules. Après tout, tant qu'à tout garder ça en dedans de moi, aussi bien le canaliser en dollars, pas vrai?
J'peux au moins m'rassurer qu'j'ai mon meilleur ami qui saura toujours rajouter son brin de soleil à mes péripéties pendant que tu sècrètes une trop grande quantité de nuages. T'es mon cumulus préféré, celui qui crée les plus beaux arcs-en-ciel.
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