the same cycle continues
Ça s'peux ce soit un mauvais hasard, mais chaque fois, tu m'replonges dans s'que j'dis qui est d'la mauvaise nostalgie. Tsé, revivre les mêmes mauvais souvenirs over and over même si j'essaie des oublier? La seule chose qui change, c'est le nom d'la personne pis sa photo... quand elle en a une.
J'arrive pas à t'dissocier de tout l'mal qui m'est arrivé auparavant, pis en parler avec du monde fait juste me prouver que j'ai raison, que j'devrais m'méfier, pis que s'que j'fais, comme d'habitude, bah c'est pas correct. 27 mai 2017 il part, 16 juin 2017 tu arrives. drôle de concidence qui m'énerve encore plus.
J'ai l'impression d'revivre le même scénario, la même calice de criss d'affaire. Que tout va bien, pis si j'essaie d'en parler, j'ai juste à prendre la porte. Encore. Encore les mêmes criss de mots, les mêmes manies qui me font brailler. C'est la même affaire qui se répète, pis c'est les mêmes émotions que j'traverse. C'est sûr que j'fais exprès comme si y avait un calice d'Indiana Jones caché dans ma bedaine qui voulait tout aventurer, but still, j'm'auto-démolis.
Avoir la confirmation que quelqu'un existe devrait même pas être un concept dans mon cerveau - si on peut l'appeler ainsi.
S'comme une mauvaise habitude de m'gratter au sang en imaginant le pire - toute qu'une activité!
J'peux pas forcer l'monde à faire s'que j'veux, malheureusement, parce que j'l'aurai essayé maintes fois.
C'est fou les montagnes russes de rage et de peine que j'peux ressentir pour un simple refus, on dirait un enfant de trois ou quatre ans qui n'a pas encore compris. OU une fille de vingt ans qui revit deux anciens scénarios qui pense devenir folle.
J'pourrais même pas expliquer la rage que j,ressens en s'moment même si j'essayerais. J'pleure, j'm'arrache, j'panique pis j't'à veille d'enlever chacun des cheveux qu'j'ai sa tête. J'me force à pas crier au meurtre pis à pas toute casser s'qui a sur mon chemin. J'enfoncerais mon poing dans chaque pied carré des murs, j'me sens encore plus violent qu'la musique qui résonne dans mes écouteurs. J'pu capable, criss que j'pu capable pis j'm'endure pu. Chaque fois, tu fais juste prouver aux autres qui ont raison.
J'quand même consciente que j'pourrais fermer mon Facebook pis m'calicer de tout le monde qui en fait partie. De supprimer Snapchat, même fermer le cellulaire et ne pas m'en servir. Comme ça, pu personne répèterait les mêmes phrases, pis j'me forcerais sûrement pas à chercher des raisons qui vont faire en sorte que m'a finir déçu.
C'est une crise d'enfant gâté,
je sais.
S'mon mental qui devient encore plus fou qu'il l'était,
je sais aussi.
c'est les yeux gonflés, les mains qui tremblent pis les dents qui serrent que j'me rends compte que j'fais pas juste frôler la folie, chu probablement juste en train d'la vivre.
It ain't bridges that I need to cut, it's the entire land.
Crying over someone might be the stupidest thing, but it's also the one that keeps happening.
There's something inside me that can't let go, because believe me, I should have done it a long time ago. Should have left, blocked, and deleted you. But no. I accepted the friend request and made up stories in my goddamn mind.
The reason this leads to crisis, self-harm and almost dementia isn't love; it's the fact that I care. Because if I didn't care, I could just say fuck you and run away like I do most of the time.
If it's all a game, you're playing it well. But I'm not. I feel dumb cause people always get me in the same ways, and then leave with the same pattern; can't seem to learn after hundreds of time. It's like a urge, a need to validate that you're real, it's like without proof, this goes nowhere. But I know that each time I'm insisting, or begging, really thinking pity's gonna give me what I need, I'm just pulling you away, farther each time.
You'll probably end up deleting me like the rest without any reason, although it'll be pretty obvious; I'm a wreck. Nobody can love or just even be friends with someone this crazy. I've tried to look normal so you can appreciate me. I really did. But my real face is showing up and soon or later, you'll show me the door... and it won't be a real one like I tend to imagine before I go to sleep.
I guess one day I'll be completely numb to all of this, but right know, my heart can't help but ache, my stomach's following and my legs can't move. It ain't just the brain now, it has taken all over.
Because I decided to care. Even if I'm trying my hardest not to.
J'arrive pas à t'dissocier de tout l'mal qui m'est arrivé auparavant, pis en parler avec du monde fait juste me prouver que j'ai raison, que j'devrais m'méfier, pis que s'que j'fais, comme d'habitude, bah c'est pas correct. 27 mai 2017 il part, 16 juin 2017 tu arrives. drôle de concidence qui m'énerve encore plus.
J'ai l'impression d'revivre le même scénario, la même calice de criss d'affaire. Que tout va bien, pis si j'essaie d'en parler, j'ai juste à prendre la porte. Encore. Encore les mêmes criss de mots, les mêmes manies qui me font brailler. C'est la même affaire qui se répète, pis c'est les mêmes émotions que j'traverse. C'est sûr que j'fais exprès comme si y avait un calice d'Indiana Jones caché dans ma bedaine qui voulait tout aventurer, but still, j'm'auto-démolis.
Avoir la confirmation que quelqu'un existe devrait même pas être un concept dans mon cerveau - si on peut l'appeler ainsi.
S'comme une mauvaise habitude de m'gratter au sang en imaginant le pire - toute qu'une activité!
J'peux pas forcer l'monde à faire s'que j'veux, malheureusement, parce que j'l'aurai essayé maintes fois.
C'est fou les montagnes russes de rage et de peine que j'peux ressentir pour un simple refus, on dirait un enfant de trois ou quatre ans qui n'a pas encore compris. OU une fille de vingt ans qui revit deux anciens scénarios qui pense devenir folle.
J'pourrais même pas expliquer la rage que j,ressens en s'moment même si j'essayerais. J'pleure, j'm'arrache, j'panique pis j't'à veille d'enlever chacun des cheveux qu'j'ai sa tête. J'me force à pas crier au meurtre pis à pas toute casser s'qui a sur mon chemin. J'enfoncerais mon poing dans chaque pied carré des murs, j'me sens encore plus violent qu'la musique qui résonne dans mes écouteurs. J'pu capable, criss que j'pu capable pis j'm'endure pu. Chaque fois, tu fais juste prouver aux autres qui ont raison.
J'quand même consciente que j'pourrais fermer mon Facebook pis m'calicer de tout le monde qui en fait partie. De supprimer Snapchat, même fermer le cellulaire et ne pas m'en servir. Comme ça, pu personne répèterait les mêmes phrases, pis j'me forcerais sûrement pas à chercher des raisons qui vont faire en sorte que m'a finir déçu.
C'est une crise d'enfant gâté,
je sais.
S'mon mental qui devient encore plus fou qu'il l'était,
je sais aussi.
c'est les yeux gonflés, les mains qui tremblent pis les dents qui serrent que j'me rends compte que j'fais pas juste frôler la folie, chu probablement juste en train d'la vivre.
It ain't bridges that I need to cut, it's the entire land.
Crying over someone might be the stupidest thing, but it's also the one that keeps happening.
There's something inside me that can't let go, because believe me, I should have done it a long time ago. Should have left, blocked, and deleted you. But no. I accepted the friend request and made up stories in my goddamn mind.
The reason this leads to crisis, self-harm and almost dementia isn't love; it's the fact that I care. Because if I didn't care, I could just say fuck you and run away like I do most of the time.
If it's all a game, you're playing it well. But I'm not. I feel dumb cause people always get me in the same ways, and then leave with the same pattern; can't seem to learn after hundreds of time. It's like a urge, a need to validate that you're real, it's like without proof, this goes nowhere. But I know that each time I'm insisting, or begging, really thinking pity's gonna give me what I need, I'm just pulling you away, farther each time.
You'll probably end up deleting me like the rest without any reason, although it'll be pretty obvious; I'm a wreck. Nobody can love or just even be friends with someone this crazy. I've tried to look normal so you can appreciate me. I really did. But my real face is showing up and soon or later, you'll show me the door... and it won't be a real one like I tend to imagine before I go to sleep.
I guess one day I'll be completely numb to all of this, but right know, my heart can't help but ache, my stomach's following and my legs can't move. It ain't just the brain now, it has taken all over.
Because I decided to care. Even if I'm trying my hardest not to.
should think about getting a better armor next time... if there's a next time
Nothing can happen the fourth time, right?
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