La justice ortho-tardée du Québec.

Bon... je vais comparer deux cas, même s'ils sont les deux de pays différents. Premièrement, le monsieur qui a giflé sa fille pour avoir mal nettoyé le plancher de la cuisine et qui l'a tuée. Deuxièmement, le gars qui a vendu des brownies au pot avec un taux élevé de THC. Le problème entre les deux, c'est la sentence. WTF. Le monsieur écope 60 jours (oué oué, soixante petits jours) et le drogué de brownies en récolte... infini (sentence à vie). Franchement... oui, certes, l'histoire du monsieur est aux États-Unis, mais quand même... OUI je sais le monsieur a pas réellement voulu tué sa fille et OUI je sais que c'est pas correct vendre de la drogue, mais tout de même! Suis-je la seule qui trouve que les deux sentences auraient du être inversées? Que... que c'est pas sain, voilà! Le gars après 60 jours aurait eu sa leçon pis il n'aurait dorénavant que fumer dans son sous-sol en jouant à Call of Duty!! L'histoire du père par contre nous vient du Québec... oh, surprenant avec notre belle justice! J'pense que j'volerais une Coffee Crips au IGA que j'aurais pas autant de chance de m'en sauver que Guy Turcotte et Moussa  Sidimé... combinés! Voir que tuer ses enfants ça passe, mais si à l'école t'as un peu de pot, t'es dans marde! (je suis anti-drogue mais vous comprenez le principe). On doit avoir l'air d'une vraie ostie de joke comparés aux autres pays ou provinces! Toute qu'une bande de caves avec une justice sans bon sens... à croire qu'ils font exprès de nous choquer avec leur sentences sans bon sens!!! Dans le but de vous offrir plus d'information, voici, selon TVA nouvelles, les deux histoires. Premièrement, l'enfant battue à mort (selon LCN toujours); Un père qui a tué sa fille de 13 ans en la giflant au visage a écopé de 60 jours de prison, mercredi, au palais de justice de Longueil. Une sentence que le juge Richard Marleau a lui-même qualifiée de 'clémente'. Le juge de la Cour du Québec a été catégorique dans son jugement; le geste posé par Moussa Sidimé sur sa fille Nouténé n'est pas qu'une 'simple gifle'. Selon lui, la correction d'un père qui utilise des gifles ou des coups à la tête est 'déraisonnable', même 'illégale'. Malgré tout, il a conclu que la sentence que mérite l'accusé de 74 ans 'ne peut être que célemente'. Bon, allons maintenant à l'article du browneux de pot; Un jeune homme de 19 ans pourrait passer le reste de ses jours derrière les barreaux pour avoir présumément fabriqué et vendu des petits gâteaux (brownies) à la marijuana. Selon les documents de la police locale, les autorités auraient trouvé 1,5 livre de petits gateaux, une livre de marijuana, des balances numériques et plusieurs sachets de drogue chez le jeune Jacob Lavoro, qui réside au Texas. Lavoro fait maintenant face à des accusations de crime au premier degré. S'il est reconnu coupable, L'ancien étudiant et joueur de football, qui jusque-là avait un dossier vierge, pourrait écoper d'une peine allait de cinq ans à prison à vie. Wow, même cinq ans... OUI le gars est con mais les gens qui lui achetait les muffins (brownies) le sont autant PIS AUSSI si son dossier était propre, j'ai une hypothèse; soit qu'il ne s'avait jamais fait prendre, soit qu'il a fait cet action dans le but d'avoir l'air cool et yolo auprès de ses amis. En tout cas... c'est tout s'que j'avais à dire, faudrait ben j'aille me coucher hein... Mais WTF crime au premier degré... qui est mort? Ah oui moi. De rire. Oops! Voici le reste de l'article du gars con qui tue sa fille: En effet, même si le geste commis par le père de famille s'est avéré fatal, il ne s'agit pas d'une infraction qui visait au départ à laisser des séquelles à l'enfant. «On ne peut prétendre que ces gestes, aussi répréhensibles soient-ils, sont susceptibles de mettre la vie de l'enfant en danger à première vue», a expliqué le juge. Surtout qu'en Guinée, pays d'origine de l'accusé, la gifle est tolérée comme mesure disciplinaire, a-t-il aussi noté. «Chose certaine, l'accusé est déjà dissuadé de répéter son geste. De manière plus générale, il semble aussi que le message de dissuasion se soit propagé dans sa communauté», a ajouté le magistrat. «Si j'avais su qu'une seule gifle allait la tuer...», avait laissé tomber l'homme de 74 ans, lors des représentations sur sentence en février. Le drame remonte au 6 octobre 2010. Au retour de l'école de sa fille, Moussa Sidimé lui a demandé de nettoyer la cuisine. Insatisfait de son travail, il a dû insister à deux reprises pour qu'elle reprenne sa corvée. En quittant la cuisine, il dit avoir entendu sa fille murmurer «ce qu'il a cru être des insultes». Cela a donc valu à son ado une gifle sur chaque joue, ainsi qu'une tape sur les fesses. Mais quelques minutes après, sa fille s'est effondrée au sol, inconsciente. Elle est décédée d'une rupture de l'artère vertébrale, vraisemblablement causée par un mauvais mouvement de rotation du cou, en recevant la gifle ou en voulant l'éviter. Après avoir appelé les services d'urgence, Moussa Sidimé a été arrêté, puis accusé d'homicide involontaire. Peine ajustée au plus bas Même si la gifle mortelle peut être passible d'une peine d'emprisonnement à perpétuité, le juge Richard Marleau a imposé à l'accusé une sentence de 60 jours, à purger de façon discontinue les lundis et mardis, notamment «compte tenu de son âge». «La peine doit donc être ajustée en bas de l'échelle de peines compte tenu de l'ensemble de tous les facteurs mis en balance», a argumenté le juge. La défense proposait une sentence suspendue, ce que le juge n'a pas retenu. «Une telle peine ferait abstraction du geste illégal commis et que les actes de l'accusé ont mis en cause la sécurité et l'intégrité d'une jeune enfant amorçant son adolescence. Cet agir doit être dénoncé et dissuadé», a ajouté le juge.La Couronne proposait pour sa part une peine de deux ans. «La violence n'est jamais une réponse à un comportement d'un enfant. C'est un message qui a été reçu par l'accusé et sa communauté, selon le juge. Maintenant, on souhaite que l'ensemble du public l'entende de la même façon», a dit Me Julie Laborde à la sortie de la salle d'audience. Et le reste de l'article des brownies: Le père du suspect pense que le jugement que son fils pourrait recevoir est «outrageux» «Cinq ans à prison à vie? Je suis désolé, je suis un citoyen respectueux de la loi, je suis un conservateur, mais ça n'a pas d'allure», croit Joe Lavoro, le père de Jacob, 19 ans. «Ce n'est pas correct. Ce n'est vraiment pas correct», ajoute-t-il. Les procureurs expliquent que la peine pourrait être si lourde en raison de la recette de petits gâteaux du jeune Lavoro. Selon les autorités, le mélange contiendrait de l'huile de hachisch, qui contient beaucoup de THC. Selon les lois texanes, l'utilisation de l'huile de hachisch peut être traitée en justice comme celle des drogues plus graves comme l'ecstasy. L'avocat de la défense, Jack Holmes, croit que les charges qui pèsent contre Jacob devraient être abaissées. Jacob Lavoro a plaidé non coupable. Son père demeure déçu que les procureurs n'aient pas diminué les charges. «S'il avait fait quelque chose de mal il devrait être puni, mais dans une mesure raisonnable», croit Joe Lavoro. Le jeune Jacob Lavoro devrait revenir en cour le mois prochain selon la chaine de nouvelles américaine ABC. Tsé veut dire, j'm'en criss que ça soit légal dans ton pays ce l'est pas ici, bon! (les claques pas les brownies) pis YOLO pour la drogue, tout le monde en prend de toute façon. Bon... bonne nuit pour vrai!

Lien de Prison à vie pour des petits gâteaux au pot?
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2014/05/20140521-213158.html

Lien de 60 jours de prison pour une gifle mortelle à sa fille
http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2014/05/20140521-104647.html

Arabe.

Brownie (nouveau surnom... beaux cils en passant)