Pourquoi...

J'essaie de dormir, mais je n'y parviens tout simplement pas. Pourquoi... pourquoi... cette fois-ci, je prends la chose, soit une rupture, moins radicalement et moins violemment, mais le nœud au cœur demeure le même qu'il avait déjà été. Il le sait, j'ai de la misère à balancer vie amoureuse, médicaments, maladie, école et vie actuelle... ce qui fait que je les gâche tous, une étape à le fois. Je t'aimais, à ma façon... la vraie. Peu importe ce qu'on m'a dit, les choses méchantes genre que j'étais profiteuse et que je ne les aimais pas, je ne les avaient jamais écoutées car moi je savais que ce n'était pas vrai. Que croire maintenant? S'était hier, il y a 304 jours que Joey m'avait laissé là, sans repères. Maintenant, il y a zéro jours que Félix a fait de même. J'aimerais savoir pourquoi aucun garçon ne souhaite rester, pourquoi j'ai autant de maladies, pourquoi je suis folle malgré les médicaments... Non, tu n'es pas folle Méli, tu le sais, qu'ils m'ont tous dit. Mais ils sont tous partis. Par tous, je ne veux dire que deux. Mais c'est quand même deux ans et une semaine, en additionnant neuf mois et deux semaines plus six jours, ce qui fait presque trois ans... de merde. Mais... je les connais mes défauts. Je ne suis tout simplement pas capable de les améliorer. Joey me les avait craché au visage, et c'est là que j'ai commencé à changé car il m'avait fait réaliser l'horrible personne que je suis. Mes yeux brûlent, mon nez coule ainsi que mes yeux. J'ai une énorme boule dans le gorge qui ne semble pas vouloir partir de sitôt. Tu sais, je t'aime. Je t'aime énormément. La douleur intérieure m'empêche de parler et celle extérieure m'empêche de m'exprimer ouvertement. Il me parle comme s'il me faisait des adieu... c'est douloureux, ça fait mal, j'tannée. Je ne peux souhaiter qu'il revienne, mais j'espère qu'en écrivant dans mon blogue et dans mes cahiers j'arriverai à trouver la paix que je n'avais pas encore trouvée... Par contre, je le comprends d'aller voir ailleurs, de vouloir explorer plus grand. Parce que c'est ce que Joey a fait.. il a vu mieux, il est parti vers mieux... Je devrais aller de parler de lui... Félix, je sais que ce n'est pas ici que je devrais l'écrire, mais je t'aime. Ton sourire m'était un rayon de soleil, tes paroles, réconfortantes. Ta chaleur et ton sommeil camouflait ma solitude, ton regard disait tout. Allez grand fou, peu importe ce qui arrivera dans ta vie, je vais souhaiter ce que j'ai souhaité à Joey... du bonheur, peu importe avec qui, peu importe comment. Je t'aime. Je t'aime énormément, même is l'écrire ne change rien à comment je peux le ressentir. Tu vas me manquer, parce que je n'ai pas de mauvais souvenirs pour me faire oublier les bons... Espérant que le sommeil atténue mon mal et tout ce qui fait que je pleure autant...

je t'aime,


je t'aime,

je t'aime.

Sérieusement.

Sincèrement.

Je t'aime.


Commentaires

articles populaires sans raison

10 choses que seul les gens qui ont grandi à St-Lin vont comprendre!

Qui se cache derrière les costumes de Cornemuse?

20 noms des gars les plus badboys???? (riquiqui roast)