Blabla inutile encore.

À tous ces hommes qui me font sentir inférieure.

À tous ceux qui me font de la peine en me dégradant au stade d'objet, comme si ma personnalité et la personne que je suis n'étaient pas importants.

À ceux qui me demandent ma position préférée, si je suce, si j'avale, mais jamais comment ça va et qui ne veut jamais jaser autour d'un café.

À tous ceux qui croient appropriés les commentaires sur ma poitrine et mes fesses, à ceux qui me disent que j'ai des lèvres de suceuses.

Qui ont le double de mon âge et me parlent de choses qui ne font pas de sens. Qui viennent me parler seulement dans leur taux d'alcoolémie a dépassé la limite permise, quand l'inhibition a perdu la map.

Vous me faites perdre foi en l'amour, mais bon, l'amour s'pas votre ''jam'' ça. Pourquoi risquer de tomber en amour, de toute façon, ça vire toujours en marde, à ce qu'il paraît. C'est à croire que certains gens ont une réelle phobie, alors que l'autre moitié (et je dois en faire partie!) rêve encore de la douce moitié, dans un monde de licornes rose et sans fin. Des fois j'me demande si j'ai pas juste trop écouté de films de princesses ou si j'trop optimiste vis-à-vis finir ma vie avec quelqu'un qui va m'trouver moindrement potable côté personnalité.

J'le sais que j'pas la seule la dedans, mais j'peux pas m'empêcher de penser à chaque criss de fois que j'suis juste pas assez. Pas assez belle, pas assez mince, pas assez intéressante pour que le monde reste. Pis chaque fois j'me sens comme d'la criss de marde de pas être la fille dont les hommes rêvent même si, dans l'fond, on l'sait qu'c'est juste l'ère dans lequel on vit.

Ne me contredisez pas, des exceptions, ça existe et je le sais, et j'ai hâte de trouver la mienne. Mais c'est quand même fréquent comme phénomène. Quoi que des criss d'épais, fait sûrement des lustres que ça existe, mais avec l'arrivée d'internet, ils sont encore plus accessibles.

Pis oui, encore un texte cliché. D'une fille tannée. Qui déprime le soir avant d's'endormir parce qu'à s'dit qu'a vaut rien d'autre qu'une p'tite vite, qu'une baise avec quelqu'un qui aura jamais de sentiments pour elle.

Parce qu'un gars qui veut te fourrer te fera tous les compliments du monde, mais ça en prend un vrai pour rester avec toi dans le lit à place de s'empresser de s'rattacher les culottes pour partir. Tu t'dis qui t'manque sûrement de quoi si y finissent toute par se sauver, mais dans l'fond, c'est un manque de confiance de leur part.

J'imagine qu'un jour chaque torchon va trouver sa guenille.

***

Pis chaque fois qu'tu mentionnes ''ça'', y a un p'tit malaise qui s'installe un peu plus creux à l'intérieur de moi. C'est même pas arrivé encore que, déjà, ça me fait sentir extrêmement sale. Je trouve ça weird. Malsain, même, mais je sens l'incapacité de te dire non. Mais en disant oui, c'est à moi même que je fais du tord.

***

Pretty much what happens when you're trying to please everyone. I knew sleeping with you was a bad idea but you wanted it so bad and was begging for it...

I told myself

''fuck it, not the first time you gotta stand still and wait for it to be over''

and that's what I did. You wanted it so bad and your gilfriend kept on reassuring me that it was okay while, deep down, I know it wasn't, but I can never bring myself to say ''no''. I don't know what to tell any of you and myself either, I have this lump in my throat, I'm ready to explode at any time now. Plus, I'm working with them tomorrow. What will the atmosphere be like? I ruined everything. I ruined maybe my Relationship with Andy and a ruined a year old Relationship, what a fucking whore I am, I hate myself, I just wanna cut myself while quitting this motherfucking job.

***

Et même si l'on me demandait clairement d'exprimer comment je me sens, j'saurais pas quoi dire. J'ai mal, j'ai le cœur serré pis j'ai juste envie d'aller m'excuser mais j'ose pas. J'm'excuse *******, tsé si j'aurais su toute la marde que ça aurait occasionné, j'aurais continué de te dire non, malgré le manque d'affection qui nous habitait à cet instant là. J'sais pas pourquoi j'fais pas juste me crisser une balle dans tête, calice que j'fais juste ça des fucking erreurs tout le temps, j'ai envie de te parler ou t'écrire, te dire que je m'excuse pis que mon but ça jamais été de mal faire. J'ai le goût de fesser partout, d'me faire mal comme le mal que j'ai faite. L'atmosphère est lourde, très lourde. Chu conne.

***

Salut peanut. Tu sais, s'qui s'passe en s'moment, c'est peut être une des plus belles choses qui va t'être arrivé so far. Je sais que, présentement, c'est comme si le ciel t'était tombé sur la tête... on l,a tous vécu pis, malheureusement, aujourd'hui c'est à ton tour. On s'attend jamais à se faire briser le cœur, ben honnêtement...

***

Tes mots me font encore du bien comme tu peux pas savoir.

T'es tellement belle,
Tu devrais vraiment avoir plus confiance en toi Mélissa,

& tout le reste... quand tu m'as donné un de ces longs câlins, j'pense que j'aurais resté dans tes bras toute la journée pis que j'm'aurais endormie dedans. Ta chaleur fusionnait bien avec ma tempête intérieure, nos blessures parvenaient à apaiser celles de l'autre. Qui sait, peut être que nos blessures se rouvrent dans le but de mieux se refermer et guérir?

***

In the end, the only thing I want is to hug you for as long as possible. I wanna come home to you making me dinner, I wanna go into your arms when skies are gray.

***

& en deux temps, trois mouvements, t'as réussi à me faire rappeler ce que c'est de se sentir appréciée & aimée, même si s'était juste le temps d'une baise. De se sentir bien, en sécurité dans les bras d'un homme. Peut être aurais-je égoïstement souhaité que ce soit ****?

***

Salut ma belle peanut. ****, si tu préfères. M'a te l'écrire ici, sur du papier, à place de faire boguer ton cell quand chu en détresse. Je t'aime, pis je sais pu quoi faire avec cette information. J'ai beau essayer de chatter, même de coucher pis rencontrer d'autres gars, j'y arrive pas. C'est toujours toi que j'ai de pogné dans tête. C'est tes appels et tes textos qui me donnent des papillons dans l'estomac, c'est toi qui m'allume et dont je 'crave' sans cesse, mes futurs enfants c'est avec toi je les veux et les imagine, je n'arrête pas de penser que, si la vie t'as mis sur mon chemin, ce n'est pas pour rien. On est pareils tout en étant différents, on se complète d'une façon qu'on ne parvient pas à expliquer.

***

Salut J. Tu dis que non, probablement dans le but que je cesse de me sentir coupable, mais ça se sent que, peu importe. tu m'en veux quand même un peu pour ce qu'ils 'est passé. Pis c'est pour ça que j'tiens à te dire que j'm'excuse pour s'que j't'ai faite, même si t'attendais probablement juste le bon moment pour le crisser là, sans ma ''gaffe', ça ne serait pas arrivé. Tsé, les deux on a pris la peine de te demander plus qu'une fois si ça te dérangerais.

***

Alors que je googlais quels mélanges o quels médicaments en pharmacie pourraient bien occasionner la mort, tu m'as texté de ne pas faire de conneries. Tu me connais - trop bien, même. Après toutes les sortes de médication pis toutes ces thérapies là, on penserait qu'les pensées suicidaire s'atténueraient mais non, elles sont plus présentes que jamais. J'veux réussir pis pas m'manquer cette fois-ci, j'ai vraiment pas envie de me manquer.

***

J'ai envie que tu acceptes enfin mon invitation pis que j't'entendes cogner à ma porte, une fois pour toutes.

De te voir anxieusement et, d'une façon gênée, me sourire, me saluer et de discrètement regarder les alentours, question de voir dans quel environnement une fille comme moi pourrait-elle vivre. Je m'assois au bout du divan et tu fais de même, mais à l'autre extrémité. On se regarde, nerveux, car l'on sait exactement ce qu'il va se passer d'ici quelques minutes.

On jase de trucs plates et, entre discussions sur la job et autres futilités, je m'approche de plus en plus de toi. Nos cuisses se touchent malgré les épaisseurs de tissus qui les sépare. Tu décides d'enlacer ton bras gauche contre moi, la main sur mes hanches. J'entends ton cœur battre. On ne parle plus, on en profite pour prendre plaisir du moment présent. Et, plus que le temps avance, tu caresses mon corps de long en large, débutant des cheveux, allant jusqu'aux fesses. Je fais de même, mais ne sortant pas de la région intérieure des cuisses.

Je sens ta respiration s'accélérer et ton entre-jambe durcir, et c'est lorsque mon regard se jette sur toi que ta main précédemment baladeuse s'enlace autour de ma gorge et tu profites de cet instant pour, après avoir vu mon sourire rempli d'excitation, me donner un des baisers les plus passionnés dont j'aurai jamais eu droit de toute mon existence, après quelques instants je suis assise sur tes cuisses et on s'embrasse tellement, je crois que même si quelqu'un essayerait de nous séparer il en serait incapable.

On enlève le chandail et déshabillons l'autre d'une façon tant saccadée et rapide mais également remplie de passion et d'envie. Nous avions attendu ce moment depuis tellement longtemps déjà, le vivre nous semble tout simplement irréel. Je ne saurais expliquer comment, mais, toujours sur cet entrain de passion, nous nous sommes rendus à ma chambre, s'étendant dans mon lit, tu profitas de cet instant, couché sur le dos alors que j'étais couchée, oui plutôt à quatre pattes devant toi, pour dégager mes cheveux de mon visage.

- T'es belle, que tu m'avais murmuré.

J'ignore si s'était l'alcool ou toi qui parlait, mais le réchauffement au cœur que cela procure reste toutefois le même. Tu continues encore de m'embrasser, agrippant mes fesses avec tes fortes mains. À bout de souffle, on se regarde, chacun avec envie et admiration envers l'autre. Lorsque tu me vois descendre ma tête et que je me mis à déboutonner ton jean, tu te mis rapidement à comprendre ce qu'il risquait de se passer. Je baissai tes caleçons et ton dure s*xe fit son apparition. En admiration devant ce que je voyais, toi, de ton côté, tu réalisais que la p'tite nouvelle à job avait plus qu'un tour dans son sac.

Je m'exécutai, ce qui semblait te faire énormément plaisir. Après quelques minutes, nous décidons de passionnément faire l'amour. Je ne cessais de penser à l'énorme et unique chance que j'avais de pouvoir être à tes côtés, enfin. La nuit se finit par nous deux, totalement épuisés, dormant entrelacés comme un vieux couple, dans mon lit. Je t'aime, je t'aime vraiment.

Pour moi, c'est pas important le poste et l'emploi que tu occupes, ton âge ou ben si t'as ou pas un enfant. J'me fous de ces détails futiles là quand mes yeux plongent dans les tiens, ces pensées s'envolent quand j'entends ta chaleureuse voix.

***

Lonely sad woman cry and hug her knees sitting in the dark corner ,Sad woman  Unhappy and stressed student on the campus ,Family problems and education  concept - Quillette

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