L'enseignante effeuilleuse - Chapitre 13
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Chapitre 13
Il ne manque que le cheval... ou le carrosse.
Ma journée avait passé si lentement, mais si vite à la fois. Non, pas parce que Murielle n’avait pas répliqué de bêtises, mais bien à cause de Randolph. Quand je pensais à lui, je souriais à pleine dents et rougissais... dans la salle des enseignantes, il arrivait que l’on me regardait bizarrement. Il était 4h00. L’école était terminée depuis peu, et je me rendit en gabandant jusqu’à mon auto pour aller rejoindre ce que j’espérait bientôt être mon petit ami au café du centre commercial. J’écoutais une chanson d’amour chantée par Jamie Score appelée A Star before the other, qui me rappelait beaucoup ma relation avec Steve (et Emy dans le milieu).
Arrivée devant le café, je tentai de le chercher du regard, et son sourire étincelant confirma qu’il était bel et bien arrivé avant moi. Je le sais, je ne dois pas tomber en amour trop rapidement, malgré que Randolph semble être, à première vue, quelqu’un de vraiment gentil... et que son père ne travaille pas dans un bar. Au fait, quel age a-t-il? Il semble plus âgé que moi, mais, au moins, plus jeune que Steve. Steve aussi, dans le fond, me semblait gentil...
Randolph me salua au loin. Je fit le saut, dans la lune dû à mes débordantes pensées. Il ria de mon petit saut et je m’assis une table pendant qu’il parlait…
-Et c’est à ce moment que nous avons gagné…
-Ah oui? Gagné quoi? Désolé, j’étais dans la lune.
Il me fait un petit sourire très mignon.
-Un trophée. En baseball.
-Wow! Je suis impressionnée!
Je l’était vraiment, mais je crois que j’étais plus impressionnée par Randolph que le baseball…
-Et vous, quel métier exercez-vous, mademoiselle? Demande Randolph
Je décidai de ne plus avoir de cachoteries sur mes emplois, quoi que, maintenant, je n’étais qu’officiellement que enseignante.
-Je suis enseignante au primaire.
-Génial! Quelle école?
-La Rosée.
-Ah oui? J‘allais à cette école étant plus jeune et on se rejoignais pour jouer au baseball!
-Donc, tu as toujours aimé le baseball?
-Oui, c’est mon sport favori! Quel âge avez-vous?
-Vingt-quatre ans. Et vous?
-Vingt-six, et j’espère que cela ne vous causera aucun problème.
-Non… dire que j’ai sorti avec un gars de 37 ans…
Cette phrase était sorti d’elle-même, mais elle fût une petite voie d’accès afin de lui expliquer, sans filtre, toute mon aventure avec Steve, l’histoire de danseuse nue, et tout les petits machins incluant Emy qu’elle avait rencontrés avant Randolph.
-Ce gars te trompait avec une Bunny? Oh la la, pauvre toi!
-Ouais! Mais maintenant, c’est pour le meilleur, dit-elle en le regardant passionnément.
Ils se regardaient, rapprochaient leurs figures, les yeux fermés et quand ils étaient si proches de s’embrasser, le téléphone de Randolph sonna. Lui et son interlocuteur parlaient de baseball. Quand Randolph eut fini, il dit à Selena :
-Désolé, je dois y aller.
On pouvait voir dans son regard qu’il n’avait pas envie de partir, mais que ses obligations ne lui donnaient pas le choix.
-Pas de problème, dit-je, un gros sourire aux lèvres, sachant très bien que nous allions nous revoir.
Je me levai, prit mon sac à main et mon cellulaire, donnant un baiser sur la joue à Randolph. Seule la pensée de son visage rougissant était suffisante pour me faire sourire.
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Il ne manque que le cheval... ou le carrosse.
Ma journée avait passé si lentement, mais si vite à la fois. Non, pas parce que Murielle n’avait pas répliqué de bêtises, mais bien à cause de Randolph. Quand je pensais à lui, je souriais à pleine dents et rougissais... dans la salle des enseignantes, il arrivait que l’on me regardait bizarrement. Il était 4h00. L’école était terminée depuis peu, et je me rendit en gabandant jusqu’à mon auto pour aller rejoindre ce que j’espérait bientôt être mon petit ami au café du centre commercial. J’écoutais une chanson d’amour chantée par Jamie Score appelée A Star before the other, qui me rappelait beaucoup ma relation avec Steve (et Emy dans le milieu).
Arrivée devant le café, je tentai de le chercher du regard, et son sourire étincelant confirma qu’il était bel et bien arrivé avant moi. Je le sais, je ne dois pas tomber en amour trop rapidement, malgré que Randolph semble être, à première vue, quelqu’un de vraiment gentil... et que son père ne travaille pas dans un bar. Au fait, quel age a-t-il? Il semble plus âgé que moi, mais, au moins, plus jeune que Steve. Steve aussi, dans le fond, me semblait gentil...
Randolph me salua au loin. Je fit le saut, dans la lune dû à mes débordantes pensées. Il ria de mon petit saut et je m’assis une table pendant qu’il parlait…
-Et c’est à ce moment que nous avons gagné…
-Ah oui? Gagné quoi? Désolé, j’étais dans la lune.
Il me fait un petit sourire très mignon.
-Un trophée. En baseball.
-Wow! Je suis impressionnée!
Je l’était vraiment, mais je crois que j’étais plus impressionnée par Randolph que le baseball…
-Et vous, quel métier exercez-vous, mademoiselle? Demande Randolph
Je décidai de ne plus avoir de cachoteries sur mes emplois, quoi que, maintenant, je n’étais qu’officiellement que enseignante.
-Je suis enseignante au primaire.
-Génial! Quelle école?
-La Rosée.
-Ah oui? J‘allais à cette école étant plus jeune et on se rejoignais pour jouer au baseball!
-Donc, tu as toujours aimé le baseball?
-Oui, c’est mon sport favori! Quel âge avez-vous?
-Vingt-quatre ans. Et vous?
-Vingt-six, et j’espère que cela ne vous causera aucun problème.
-Non… dire que j’ai sorti avec un gars de 37 ans…
Cette phrase était sorti d’elle-même, mais elle fût une petite voie d’accès afin de lui expliquer, sans filtre, toute mon aventure avec Steve, l’histoire de danseuse nue, et tout les petits machins incluant Emy qu’elle avait rencontrés avant Randolph.
-Ce gars te trompait avec une Bunny? Oh la la, pauvre toi!
-Ouais! Mais maintenant, c’est pour le meilleur, dit-elle en le regardant passionnément.
Ils se regardaient, rapprochaient leurs figures, les yeux fermés et quand ils étaient si proches de s’embrasser, le téléphone de Randolph sonna. Lui et son interlocuteur parlaient de baseball. Quand Randolph eut fini, il dit à Selena :
-Désolé, je dois y aller.
On pouvait voir dans son regard qu’il n’avait pas envie de partir, mais que ses obligations ne lui donnaient pas le choix.
-Pas de problème, dit-je, un gros sourire aux lèvres, sachant très bien que nous allions nous revoir.
Je me levai, prit mon sac à main et mon cellulaire, donnant un baiser sur la joue à Randolph. Seule la pensée de son visage rougissant était suffisante pour me faire sourire.
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