stone cold
La tristesse se promène encore dans mes veines, j'ai l'impression d'être salie d'tous ceux qui ont fait des fausses promesses pour que j'aille dans leur lit.
Mon corps en entier tremble, y a des larmes pis des crampes un peu partout.
J'ai envie d'te texter des insultes autant qu'des mots d'amour, même mes sentiments savent pu ou s'placer. Mon corps, biologiquement, a faim, mais j'ai juste envie d'vomir pis d'brailler.
J'ai les cernes creuses, les cheveux cassés en bataille pis des larmes qui ruissellent su'l skin picking.
J'me sens conne, utilisée, non importante. La boule dans gorge passe pas, le mal de tête reflète le fait d'avoir pensé à pourquoi j'ai fait tel et telle chose pour quelqu'un qui m'aura jetté comme une criss de guenille.
Mon coeur est émietté, pis on arrête pas de piler dessus.
Ma peau brûle à force d'essuyer les larmes que j'pas capable d'contrôler, j'ai du sang ses ongles parce que j'pas capable d'arrêter d'me skin pick la peau, j'me trouve conne, j'me trouve nulle, j'me trouve instable, j'me sens braillarde, laide, naïve.
Peux-tu croire, qu'après trois fois, on pouvait encore te briser le coeur une quatrième fois?
Peux-tu croire, qu'un an plus tard, j'braille pour la même calice d'affaire?
Peux-tu croire qu'j'ai envie d'crier même si en d'dedans c'est un grand vide silencieux?
Pensais jamais dire ça, ni même penser ça d'moi-même,
mais plus que les jours avancent, plus que j'pense que j'aurai pas l'choix d'mourir seule avec un chat,
aussi cave et dramatique que ça l'air,
c'est exactement le scénario présentement.
Le chat ecoute la tv su'l sofa pis j'pleure sur mon blogue.
Pathétique.
Mon corps en entier tremble, y a des larmes pis des crampes un peu partout.
J'ai envie d'te texter des insultes autant qu'des mots d'amour, même mes sentiments savent pu ou s'placer. Mon corps, biologiquement, a faim, mais j'ai juste envie d'vomir pis d'brailler.
J'ai les cernes creuses, les cheveux cassés en bataille pis des larmes qui ruissellent su'l skin picking.
J'me sens conne, utilisée, non importante. La boule dans gorge passe pas, le mal de tête reflète le fait d'avoir pensé à pourquoi j'ai fait tel et telle chose pour quelqu'un qui m'aura jetté comme une criss de guenille.
Mon coeur est émietté, pis on arrête pas de piler dessus.
Ma peau brûle à force d'essuyer les larmes que j'pas capable d'contrôler, j'ai du sang ses ongles parce que j'pas capable d'arrêter d'me skin pick la peau, j'me trouve conne, j'me trouve nulle, j'me trouve instable, j'me sens braillarde, laide, naïve.
Peux-tu croire, qu'après trois fois, on pouvait encore te briser le coeur une quatrième fois?
Peux-tu croire, qu'un an plus tard, j'braille pour la même calice d'affaire?
Peux-tu croire qu'j'ai envie d'crier même si en d'dedans c'est un grand vide silencieux?
Pensais jamais dire ça, ni même penser ça d'moi-même,
mais plus que les jours avancent, plus que j'pense que j'aurai pas l'choix d'mourir seule avec un chat,
aussi cave et dramatique que ça l'air,
c'est exactement le scénario présentement.
Le chat ecoute la tv su'l sofa pis j'pleure sur mon blogue.
Pathétique.
