545 jours plus tard

545 jours plus tard, ça me rend plus heureuse de savoir que je peux me lever en aillant rêvé de toi sans me réveiller en pleurs ou totalement effrayée. Dans mon rêve, j'étais avec ta copine. Nous discussions de quoi acheter dans un petit magasin. Tout le long, tu étais en file d'attente pour la caisse. Un coup d'oeil tu m'as jeté, rien de plus. J'aurais voulu te parler mais je semblais qu'il serait plus bénéfique de me contenter de te reconnaître que par ton manteau - un nouveau. Je n'ai pas vu ton visage, même par la suite lorsque tu es allé la voir, à côté de moi, pour lui prêter de l'argent et l'embrasser. La jalousie, la rage et la culpabilité n'étaient pas là. Pour une fois, lorsque je me suis levée, ça m'a fait du bien. Je doute que ce soit la fin de mes cauchemars, mais je suis contente qu'une des mes nuits m'ait offert du répis - malgré mon éveil à trois heures du matin. J'aime penser que la paix se serait installée entre nous deux, sans haine. Que si jamais nos routes se croisaient à nouveau, nous serions capable de se parler et que nous pourrions voit notre relation comme bénéfique au lieu de dévastatrice étant donné le bonheur que nous éprouvons au moment avec deux partenaires différents. Dieu a tout simplement décidé que nos deux âmes était trop frictionnées pour fonctionner; ils nous a donc donner des personnes similaires, mais de différentes natures à la fois. Toi qui pleurait au début de la rupture mais qui n'a jamais eu les nuits tourmentées, j'espère que tu dors bien en ce moment. Tu craignais que je souffre; je peux t'affirmer que ma douleur s'est beaucoup atténuée. On se pardonne mentalement car il nous ait trop difficile de le faire par voie orale ou écrite... reste qui tu es.