La Nouvelle Blonde de Steve - Chapitre 2
Chapitre 2
Steve soul
Il est présentement 17h00. Randolph nous a fait du spaghetti pour le souper. À croire que ces trois heures de grasse matinée étaient bénéfiques! Dans mon cas, je n’avais pas très bien dormi, considérant le film d’horreur que nous avions regardé hier soir. Ça ne semblait pas faire ni chaud, ni froid à Randolph, clairement!
- Très bon spaghetti, dit Emy, pour capter l’attention de mon copain.
- Merci, dit-il, mais il s’agit en fait de la sauce à Selena, dit-il, me regardant.
- Monsieur, lui dis-je, à la blague, essuyez-vous!
Je tapotai sa bouche à l’aide d’un essuie-tout, en riant. Kellia lança ensuite son assiette par-terre, nous regardant en disant oh, oh!
- Oh, oh! me répétai-je à moi, même, ramassant les dégâts.
Au même moment, Steve entra, sans équilibre, se tenant sur les murs.
- Steve? demande Emy. Que ce passe-t-il?
Il tenta de l’embrasser, geste rapidement repoussé par son haleine qui empeste l’alcool. Il vomit, là où je venais juste de ramasser de la nourriture quelques minutes auparavant. Randolph et Emy allèrent le porter à sa chambre.
-Il est mignon quand il dort, ajoute-t-elle.
En remontant les escaliers, Emy remarqua, par la fenêtre, que Steve avait vandalisé sa voiture. Elle était horrifiée et alla s’enfermer dans la salle de bain pour aller pleurer toutes les larmes de son corps. Randolph, dans toute sa douceur, alla cogner à la porte, lui demandant de sortir afin de la rassurer; rien à faire, elle ne bronchait pas. Nous allions voir dehors, constatant qu’il était écrit no emy, steve’s the best à l’aide de peinture en aérosol. Un peu plus tard, nous constatons qu’elle avait délaissé la salle de bain pour sa chambre. En soirée, une fois Kellia couchée, je descendis, cognant trois petits coups sur la porte.
- Vous pouvez entrer, dit-elle.
Randolph suivit. Je commençai:
- Je suis désolée, je... on a vu l’auto.
- Il faut toujours qu’il fasse des trucs de la sorte soûl... je suis capable de tolérer certaines choses, mais pas sur Betty (c’est le nom que Emy avait donné à sa voiture). C’est la seule chose qu’il me restait...
- Je suis navré, dit Randolph, posant son bras autour de son épaule. On va essayer de réparer le tout, d’accord?
Elle l’embrassa sur la joue, geste qui prit Randolph par surprise.
- Je t’ai... je t’apprécie, merci.
Steve soul
Il est présentement 17h00. Randolph nous a fait du spaghetti pour le souper. À croire que ces trois heures de grasse matinée étaient bénéfiques! Dans mon cas, je n’avais pas très bien dormi, considérant le film d’horreur que nous avions regardé hier soir. Ça ne semblait pas faire ni chaud, ni froid à Randolph, clairement!
- Très bon spaghetti, dit Emy, pour capter l’attention de mon copain.
- Merci, dit-il, mais il s’agit en fait de la sauce à Selena, dit-il, me regardant.
- Monsieur, lui dis-je, à la blague, essuyez-vous!
Je tapotai sa bouche à l’aide d’un essuie-tout, en riant. Kellia lança ensuite son assiette par-terre, nous regardant en disant oh, oh!
- Oh, oh! me répétai-je à moi, même, ramassant les dégâts.
Au même moment, Steve entra, sans équilibre, se tenant sur les murs.
- Steve? demande Emy. Que ce passe-t-il?
Il tenta de l’embrasser, geste rapidement repoussé par son haleine qui empeste l’alcool. Il vomit, là où je venais juste de ramasser de la nourriture quelques minutes auparavant. Randolph et Emy allèrent le porter à sa chambre.
-Il est mignon quand il dort, ajoute-t-elle.
En remontant les escaliers, Emy remarqua, par la fenêtre, que Steve avait vandalisé sa voiture. Elle était horrifiée et alla s’enfermer dans la salle de bain pour aller pleurer toutes les larmes de son corps. Randolph, dans toute sa douceur, alla cogner à la porte, lui demandant de sortir afin de la rassurer; rien à faire, elle ne bronchait pas. Nous allions voir dehors, constatant qu’il était écrit no emy, steve’s the best à l’aide de peinture en aérosol. Un peu plus tard, nous constatons qu’elle avait délaissé la salle de bain pour sa chambre. En soirée, une fois Kellia couchée, je descendis, cognant trois petits coups sur la porte.
- Vous pouvez entrer, dit-elle.
Randolph suivit. Je commençai:
- Je suis désolée, je... on a vu l’auto.
- Il faut toujours qu’il fasse des trucs de la sorte soûl... je suis capable de tolérer certaines choses, mais pas sur Betty (c’est le nom que Emy avait donné à sa voiture). C’est la seule chose qu’il me restait...
- Je suis navré, dit Randolph, posant son bras autour de son épaule. On va essayer de réparer le tout, d’accord?
Elle l’embrassa sur la joue, geste qui prit Randolph par surprise.
- Je t’ai... je t’apprécie, merci.
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